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Système Arcadie, Secteur spatial de l'Impérium

Flames of War: l’infanterie

2 Août 2015 , Rédigé par Droopy Publié dans #Flames of war

Flames of War: l’infanterie

Face à des chars de plusieurs tonnes, les simples soldats semblent dérisoires. Pourtant, surtout en défense lorsque le terrain offre suffisamment de couverts, ce n’est pas les humains qui sont les proies, mais bien les puissants blindés.

Une partie de Flames of war (FOW) se base sur les descriptions des combats de la seconde guerre mondiale. Si lors de cette guerre, les blindés prennent une place de premier plan, ils n’en reste pas moins que la principale cheville ouvrière des combats restent les simples fantassins. Les fantassins n’ont ni blindage, ni armement lourd, mais ils peuvent utiliser les couverts pour se protéger, voire creuser leurs propres trous ou tranchées. La puissance des divisions blindées repose sur la coordination entre les blindés et l’infanterie qui l’accompagne. L’attaque de Berlin en 1945 par les blindés russes, la première guerre de Tchétchénie, les combats en Palestine montrent à quel point une infanterie correctement équipée est redoutable pour des blindés s’ils ne sont pas accompagnés.

Les figurines de Fow sont au 1/100. Ce qui en fait des figurines particulièrement petites. Pourtant elles restent très détaillées. Les règles insistent beaucoup sur les socles à utiliser. Une section de combat (4 à 5 hommes) n’a pas le même socle qu’une section de commandement (2 à 3 hommes). C’est un point important qu’il faut vérifier avant le collage.

La peinture à cette échelle peut sembler difficile. Notamment celle des iris des yeux… En fait non (du moins si on oublie cette dernière blague). Des aplats pour les vêtements, les mains et le visage. Puis on utilise une encre marron. Pour obtenir ces figurines, c’est un jaune « sale » de même type que celui de l’Afrika korps qui a été utilisé. L’encre marron à « renforcé » le fond et permet d’obtenir des figurines correctes très rapidement.

Les encres Games Workshop étaient formidables. Toutefois, j’ai été surpris par la dernière achetée ; trop pâle. Elle sera appréciée par un peintre professionnel, mais pour une utilisation normale, l’encre marron de Prince August me paraît bien meilleure.

Il reste le soclage à faire. Ceux qui me suivent savent à quel point cela m’a toujours ennuyé. Pourtant, à cause même de l’échelle utilisée par Fow, le soclage est indispensable. Mais ce sera l’occasion d’un autre post.

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