Scratch d’un karbonisator (IV)

Après avoir réalisé le 3e karbonisator, il me reste dans les bras les trains de roulement du Stug III. Qu’en faire ? Jeter cela aurait été du gâchis, j’improvisais un quatrième et dernier karbonisator.

C’est en groupe, comme beaucoup de détachement ork à W40K, que les karbonisator sont les plus efficaces. Leur mobilité leur permet d’attaquer les unités d’infanterie adverses très rapidement. Malgré l’apparition dans dernière version de W40K de nombreuses unités d’infanterie blindée, la concentration de plusieurs gabarit de lance flamme reste redoutable. Même dans un format Apocalypse, un groupe de karbonisator reste une redoutable unité anti-infanterie pour un investissement en point modéré. Par contre, si les karbonisator peuvent menacer les véhicules légers, ils sont trop faiblement armés pour faire face à des véhicules correctement blindés.

Ce scratch est composé d’un châssis de maquette. Si les maquettes fournissent de superbes bases pour faire des scratch ou des conversions, ils sont fragiles. C’est pourquoi l’ensemble est collé sur un morceau de contre-plaqué qui sert de socle (que j’aurais du décorer, mais je déteste faire des socles ! ). À l’avant est installé un « blindage » qui protège le poste de conduite des projections de boues (qui à dit que les orks devaient être sales ?). A côté du pilote, un boyz ork, est installé le lance flamme. Ce dernier est constitué de divers morceaux recyclés comme de la grappe en plastique, du coton tige…

Ce lance flamme est relié à un réservoir d’origine inconnue (une maquette ou un jouet). Pour faire, simple et suivant une logique ork ; ce réservoir est énorme pour faire d’énormes flammes !

Un bloc moteur est installé à l’arrière. Ce bloc, de dimension impressionnante pour le châssis qui le supporte, achève de donner une touche ork à un véhicule improvisé.