Scratch de buggy ork sur un modèle de voiture de course des années 50 (2)

Le buggy prend forme… Les puristes affirmeront que tel-quel, l’engin n’est pas pilotable. Pour un humain, c’est effectivement vrai, pour un ork… Les lances rokettes sont placés juste derrière le pilote, ce qui le cramerait lors du lancement. Mais je trouve que l’engin à de la « gueule ainsi » et cela me permet aussi de fixer les roues arrières de manière beaucoup plus solide !

L’engin à déjà sa forme définitive. Des morceaux de bristol découpés en plaque de blindage sont collés sur le châssis. Outre l’aspect esthétique (si l’on peut dire), elles ont aussi vocation à renforcer la structure de l’engin. Le châssis est ainsi beaucoup plus rigide.

Le pilote devrait être beaucoup plus enfoncé dans le châssis. Sur les engins de ce type, seule la tête dépassait derrière une petite glace. Pour être honnête, il s’agit d’une erreur de ma part. Lorsque j’ai pensé à mettre un buste, le châssis était déjà achevé. Plutôt que de tout refaire, j’ai collé un buste ork sur un support improvisé. Et j’ai fait « comme si » le pilote bénéficiait d’un poste (de pilotage) élevé. C’est la grande incertitude de ma figurine. Et je ne saurais si mon improvisation est réussie que lorsque je la présenterais à mon club, une fois peinte.