Scratch d’un char super-lourd pour W40K (1)

Cela fait bien longtemps que je ne joue plus à W40K. Je regrette en particulier les parties en format apocalypse. Cela a souvent été des défaites sanglantes. Ces défaites s’expliquent par plusieurs points. Tout d’abord, mes adversaires ont été bien meilleurs que moi. Ils avaient potassés leurs règles. Ensuite ils n’ont jamais perdu de vue les conditions de victoire contrairement à moi. Mais au-delà d’un réel diletantisme de ma part, il faut avouer que lorsque je jouais les orks, qu’ils n’ont jamais eu l’équipement pour menacer les super-lourd adverses. Les règles ont rarement été mis à jour pour cette race. Et malgré les bricolages improvisés avec des règles « semi-officielles » je me suis toujours retrouvé submergé par des titans et des tanks super-lourd que je ne suis jamais arrivé à gérer.

C’est pourquoi, j’ai toujours voulu pour mon armée de la Garde Impériale des super-lourd. Parmis ceux ci. L’un m’a toujours tapé dans l’oeil : le macharius. C’est un gros char presque sage pour une création de Forge World. Mais l’idée de mettre une tourelle bi-tube m’a toujours plus. Ce type de configuration correspond plus à un croiseur ou un destroyer d’une flotte navale qu’à un tank. Mais c’est esthétiquement … amusant. N’ayant pas de projet précis en cours. Je décide donc d’en faire un.

La base est encore un modèle de Patoroch. On utilise du bristol sur lequel j’imprime les plans. Selon les assemblages. Je décide de renforcer avec du carton certaines parties. Là, c’est l’expérience (et les échecs ) qui permettent de faire les meilleurs choix.

Parmi les points importants : la colle. Une mauvaise colle peut tout faire échouer en faisant « tordre » le papier. Ce qui va arriver lorsque je vais coller les patins de chenille avec la colle qui me reste. Les faces des côtés latéraux vont se tordre et malgré des renforts en cartons ne vont jamais totalement se redresser.

Pour une fois, le modèle n’est pas totalement assemblé. Cela afin de pouvoir sous coucher et de peindre plus facilement ces fameux patins. Y compris sous les monumentaux gardes-boue.