Scratch : Dreadnought ork (I)
14 Mars 2014 , Rédigé par Droopy Publié dans #scratch, #w40k
Les Dreadnoughts incarnent parfaitement la philosophie ork. Un vrai ork est Gros, intimidant, bardé de fling’ et méchamment taillé pour le corps à corps. Les Dread en sont l’incarnation parfaite. Rien que pour cela, ces engins sont indispensables dans toute armée ork qui se respecte.
Si un Dreadnought est indispensable, il faut pouvoir s’en procurer. Les figurines orks de Dread ont de nombreuses qualités esthétiques (pour des orks, bien sur !). Mais si je l’admets volontiers ; je ne les aime pas. Je préférais les « bidons » des anciennes versions. Bien sur de tels modèles ont la taille d’une simple boit’ki tu actuelle. Ils sont un tantinet ridicule, mais j’ai toujours considéré les armées orks comme des comiques. Ce problème de taille reste un détail qui ne m’empêcherais pas de jouer une telle figurine.
J’avoue même avoir un faible pour les Dreadnoughts orks dessinées pour Rogue Trader... Qui ressemblent plus à des œufs kinder obèses dotés de pattes et de bras armés.
Bien sur, vous avez compris que si je parle d’œuf kinder, c’est parce que je compte bien en utiliser un pour faire mon nouveau Dreadnought. Comme tout plastique alimentaire, l’œuf doit être lavé et poncé avant d’être utilisé. Pour que l’ensemble soit encore plus solide, je perce même l’œuf. De cette façon les prolongements des membres, fait avec des morceaux de trombone, peuvent être insérer dans ces orifices. L’ensemble est incomparablement plus solide de cette façon. La méthode d’assemblage est comparable est comparable à celle exposée pour le précédant Dreadnought ork (Voir le « Sommaire » ou « Scratch : Dread ork » ... il y a déjà un certain temps).
Le propulseur, bloc énergétique est constitué d’un bouchon pour « Pom pot’ », la gourde de compote dont les parents soucieux de diététiques bourrent les enfants (afin d’avoir bonne conscience lorsqu’ils se goinfrent de chocolat avec eux !). Ce bouchon est coupé en deux et collé sur l’arrière du Dread. Les bras sont constitués de fil électrique avec des morceaux d’isolant. Cela figure les vérins nécessaires pour les bras. Quand aux pinces, il s’agit d’un coté d’une vis (limée au bout pour éviter les accidents) et de bouts de carton de l’autre. Quelques morceaux de trombones tordus figurent les câbles divers. Les deux karbonisator sont de vrai karbonisator issus de la boite de pillard. Quelques bidons provenant d’un modèle Forge World vont faire office de réservoir. Et voilà la bête montée sur un bout de plastique qui trainait. Il reste à faire la peinture.
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