Scratch : Chinoork (II)

Suite aux premiers tests effectués lors de parties classiques, je décide la mise en chantier d’un second engin. Le tout doit constituer une unité aéroportée soutenue par des kopters lors d’une partie Apocalypse. Une unité qui va effrayer mes adversaires... pour rien ! La concentration de puissance de feu est redoutable... sur un seul point. L’unité de Chinoork et de kopters s’est révélée particulièrement vulnérables au tirs adverses. Ce qui a laissé à nos adversaire toute la possibilité de se déployer ailleurs et de gagner (facilement) la partie.

Le second engin reprend les principes du premier : un plateau qui sert de support à tout le reste. Un pilote qui sert de support au premier rotor. Et un second rotor fixé sur un moteur en plastique. La liaison mécanique entrainant le rotor avant est collée au sol, mais reste visible.

Le point le plus délicat est celui des rotors. Il reprend la méthode de conception des ailes du premier modèle de Chinoork. A priori solide, cette méthode à des limites. Limites que j’ai atteint avec ce véhicule. Les pales sont trop longues pour être structurellement résistantes. Mal rangée, elles finissent par plier. Et étant donné qu’il n’est pas facile de les ranger...

Bref, il va falloir une autre idée pour faire des rotors si je fais d’autres chinoorks ! J’espère que d’autres que moi ne feront pas la même erreur.

La figurine originelle a été crée par Forge World. Elle peut être jouée lors d’une partie W40K qu’avec l’accord de votre partenaire. C’est lors de ce genre de partie qu’elle apporte un réel plus. Bien armée, rapide, pouvant déposer un petit contingent n’importe où. Les Chinoork sont particulièrement à l’aise lors de ce genre de « conflits limités ». Il convient de bien les positionner dès le départ car ce sont des véhicules fragiles. Les Systèmes de DCA à base d’autocanon quadritubes sont particulièrement redoutables pour les Chinoork. Toutefois, leur capacité de déplacement, et leur armement de base constitué de sorte d’énormes gros fling, en fait des transports d’assaut idéals pour prendre rapidement des positions adverses. Ou renforcer un point particulier si l’ennemi prend l’avantage.

Le Chinoork est nettement moins à l’aise lors de parties apocalypse. Il est la cible naturelle de nombreux aéronefs. La puissance de feu déployée par les deux camps implique de ne le déployer que dans les zones les plus calmes de la zone de combat. Toutefois, dans ce second rôle, souvent négligé, il se révèle particulièrement utile. Ses caractéristiques lui permettent de se jouer des contraintes du terrain tout en soutenant l’unité déployée pour capturer ou tenir un objectif secondaire.