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Système Arcadie, Secteur spatial de l'Impérium

Portée d’engagement (III)

12 Septembre 2014 , Rédigé par Droopy Publié dans #Conversion, #w40k

Portée d’engagement (III)

Je croyais avoir rabattu le caquet à mes garçons sur les règles de portée avec cet historique technique. Mais, mes garçons me parlent alors de robots capables de tirer de manière précise tout en soutenant une puissante cadence de tir. Mes arguments technico-historiques sont pour eux inutiles. Des robots de combat ? Où ont ‘ils vus cela ? C’est à ce moment que je m’aperçois qu’ils me piquent mes revues. Quand je pense que je les cherchais partout… Les saliguauds !!!.

L’intégration de la technologie pour offrir à la puissance de feu et portée est une constante militaire. Les Romains utilisaient déjà une artillerie mécanique pour y parvenir. En plus des catapultes et arbalètes de grande taille, ils utilisaient déjà pour les tirs antipersonnel un armement individuel. Les romains utilisaient des auxiliaires dotés de frondes capables « d’attendrir » une unité adverse avant que leur infanterie blindée ne parvienne au contact.

L’utilisation de la poudre pour les mousquets et l’artillerie augmente cette puissance de feu qui s’est adaptée en utilisant des arcs et surtout des arbalètes. L’utilisation de la poudre pour l’artillerie et les mousquets sera le point fort des armées françaises après François Ier.

Tout système automatisé utilisant des armes automatiques rentrerait plus dans le cadre d’une artillerie légère(qui peut être utilisé en renfort de la section) que dans le cadre du combat d’artillerie. Ce type d’arme existe déjà. Ce sont les Robots Sword dans l’armée US. Ils sont très imparfaits et ne possèdent pas la souplesse d’utilisation d’un simple humain. Ces robots étaient même attaqués avec joie par les opposants en Irak afin d'en piller l’armement. Des équipements comparables existent déjà dans les vielles versions W40k et pour Apocalypse. Mais ce sont surtout des systèmes de défense automatique. Fin de la discussion. La tendance actuelle est dans l’élaboration de tenue de combats informatisés permettant le combat en réseau (Le système Felin en France) et à l’étude d’exosquelettes plus ou moins blindés par la Darpa. On s’approche plus de l’armure des space marines que des robots de combats. C’est derniers sont surtout comparables aux drônes. Ces derniers sont utilisés en compléments des armes et véhicules pilotés par les humains. Bien que très utiles, ils se montrent limités. Leur principal argument réside surtout dans les économies qu’ils permettent. Toutefois, la physique s’appliquant aussi bien aux robots qu’aux humains, les notions de portées d’engagement restent d’autant plus comparables, que la majorité des robots sont pilotés.

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