Scratch de Kroiseur Kitu pour Battle Fleet Gothic (2)

Le Kroiseur Kitu est le premier vaisseau de ligne ork rencontré par les forces impériales. Il s’agit d’épaves récupérées et modifiées selon le goût subtil des orks. Le système de propulsion ork permet des accélérations fulgurantes … selon les critères orks (les autres races de W40K n’ont pas forcement cet avis.).

Le blindage frontal à deux fonction, soutenir les tirs adverses lorsque le vaisseau fonce sur ces ennemis et permettre de réussir un abordage dès que les vaisseaux sont suffisamments proches. Si la propulsion fait ricaner les joueurs adverses, l’efficacité du blindage de prou est réel. C’est le gros point fort du vaisseau, il faut l’utiliser à fond et ne pas hésiter à éperonner l’adversaire. Les kitu ne sont pas fait pour les échanges de tir. La portée de leur arme ne leur permet en général qu’une seule passe de feu. Ils manquent ensuite de maniabilité et de portée pour continuer à assommer les vaisseaux adverses. Là, le +1 ork dans les actions d’abordage se révèle être un redoutable avantage.

Le seul écran de protection se révèle être un handicap important surtout par rapport aux deux écrans des croiseurs impériaux. Le nombre de point de coque ne compense ce handicap. C’est pourquoi, il faut aller au close combat avec les “Kitu”. Il y aura forcement des pertes, elles sont inévitables.

Le point fort de ce vaisseau est son armement à courte portée. Entre les Grokanon et les batteries de fling le Kitu à une puissance de feu redoutable. Là encore, il faut aller au devant de l’adversaire, malgré les risques réels de perdre quelques unités. Il faut remarquer que la puissance de feu du vaisseau ork est déterminée à chaque tour par un jet de dé. Ce qui est typique de la manière ork dans les années 90.

Au final, le Kitu est la caricature du vaisseau ork. Son principal avantage est son coût en point et sa capacité à aller au devant de l’adversaire. Contrairement aux tactiques impériales, ce croiseur va être un vaisseau “écran” pour permettre à d’autres unités (dont les amusants Kikass conçu uniquement pour éperonn

er les vaisseaux adverses) d’intervenir au close-combat.

Si le côté fun des orks est bien rendu, beaucoup d’amateur en souligne le côté sur-réaliste. Toutefois, il ne faut pas oublier les Romains et leur “Corvus”. Ce système d’assaut permettait aux légions romaine embarquées d’aborder les vaisseaux Carthaginois. Les victoires des guerres puniques ont démontré l’importance de l’abordage. Une tactique qui fit les beaux jours des malouins lors des courses contre les navires anglais jusqu’au XVIIIe siècle malgré la réelle supériorité en artillerie navale des anglais jusqu’à la première guerre mondiale.