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Système Arcadie, Secteur spatial de l'Impérium

Le match (Chap 07) - Nouvelle dans l’univers de W40K

30 Mars 2019 , Rédigé par Droopy Publié dans #Le match - Nouvelle

Chap 7 - Riposte

 

 

Les transports atmosphériques de type Vendetta et Vultures foncent sur l’arrière du Gargant. Les troupes orks sont clouées au sol. L’attention de l’équipage du Gargant est monopolisée par les forces humaines au sol. Les engins volant en ont profité pour s’approcher dans le dos du robot de combat ork sans être inquiété. Les vendetta sont les premières à faire feu. Dérivé d’un appareil de transport tactique, le Vendetta a été transformé en chasseur de tank. Avec trois systèmes de canon laser jumelés, l’appareil est un tueur de tank redoutable.

Les tirs de canons lasers sont parfaitement ajustés et tous font mouche. Surchargés par l’énergie de ces tirs, les derniers écrans de protection du gargant s’effondrent. La protection du robot de combat repose maintenant uniquement sur son épais blindage.

Alors que les vendetta attaquent le géant de métal, les transports d’assaut valkirie attaquent les troupes d’accompagnement qui avaient réussi à suivre le robot de combat. Les armes fixes de ces appareils délivrent un feu intense. Des portes latérales, les bolters lourds crachent un tir soutenu. Si les tirs sont rarement létaux, ils obligent les orks à se protéger. La protection rapprochée ork ne peut plus soutenir le méga-gargant. Elle est alors totalement désorganisée. L’absence de défense aérienne, donne aux aéronefs humains une totale impunité. Les vendetta et les valkirie dégagent dès que leur passe de tir est achevée. Trop tard, les orks se relèvent et tirent en direction de ces aéronefs, négligeant les autres secteurs.

C’est ce moment précis qu’attendait la seconde vague d’assaut. N’ayant pas à se préoccuper du soutien du Gargant, les engins d’assaut de type vulture ont pu trouver le meilleur axe d’attaque vers le point faible du méga-gargant : son dos. C’est l’endroit le moins blindé et le moins armé. Les chasseurs assurent leur visé et larguent leurs missiles. L’ensemble des engins atmosphériques dégage rapidement sans appuyer leurs tirs avec leur armement de bord. L’arrière du Gargant, est secoué par les explosions. Le géant de métal est remarquablement résistant. Mais, si la capacité de combat du Gargant est à peine écornée, Mais ses systèmes de propulsion sont endommagés. Plus grave : l’équipage ork est secoué. Pour la première fois, il hésite. Et pendant quelques secondes, le gargant s’immobilise.

 

La salve du kuirassé est impressionnante. Des centaines de projectiles de toutes tailles foncent vers l’escadre humaine. L’un des obus des gro’ kanon percute directement l’un des vaisseaux de défense. Ses deux écrans sont volatilisés par l’énergie cinétique ainsi absorbés. Sans défense, ce vaisseau reçoit ensuite une série de projectiles qui détruisent peu à peu son blindage. Touchés, les propulseurs se taisent. C’est une épave désemparée qui se met alors à dériver entre les deux kuirassés.

L’officier tactique rend compte du résultat de la riposte ork. « Pacha ! N° 13 hors de combat ! N° 4 sans boucliers, N° 11 et 17 un bouclier détruit. N° 14 demande l’autorisation de porter secours à 13. »

« Négatif 14 ! Je répète ! Négatif ! Ce serait vous sacrifier inutilement. On fonce vers le second objectif. Il faut parvenir au corps à corps le plus vite possible ! Pour qu’ils ne puissent plus utiliser leurs armes les plus puissantes ! »

« Pacha ! Le second kuirassé se met en place ! » Hurle l’officier Tactique !

« Pas de manœuvre d’évasion ! On va être saturé de tirs, mais il faut s’approcher le plus possible !!! Accrochez-vous !!! Ca passe ou ça casse !!! » Hurle Lagardère !

 

« Commandeur. Nos escouades entrent dans le système, les unités avancées sont prêtes à passer à l’assaut de la flotte ork. La neuvième escadrille de torpilleur demande l’autorisation d’attaquer les cuirasser pour soutenir le « convoi » » Le commandant du cuirassé « Proud of Emperor » est presque déçu. Les unités avancées sont les seules suffisamment véloces pour attaquer les orks. Son vaisseau n’a pas une accélération suffisante engager directement les orks. C’est le prix à payer pour avoir le meilleur armement et le meilleur blindage se dit avec philosophie l’officier spatial… mais son instinct le porte à profiter immédiatement de l’opportunité qu’offre la supériorité numérique actuelle de sa flotte de combat.

« Négatif ! Qu’elles se déploient pour former une nasse ! Je veux attraper tous les vaisseaux orks! » Réponds le responsable de la flotte. Devant l’air ahuris du commandant du cuirassé et celui des autres officiers présents sur la passerelle, Lowe s’énerve… Les messages de l’arcadien l’ont secoué lui et son état-major. Foutu corvéable !!! Il a fallu qu’il outrepasse ses ordres et mette en l’air un plan si minutieusement mis au point !

« Vous avez vos ordres ! Je veux une manœuvre d’enveloppement ! Sinon, vous irez commander un cargo au fin fond des limbes !!! » Hurle un Lowe excédé.

« Commandeur, Mais... les unités du convoi vont se faire massacrer... » Bégaye le commandant.

« Commandant en second ! Votre supérieur est aux arrêts pour insubordination ! » Lowe fixe méchamment le commandant en second.

« Vous avez vos ordres, je crois » Demande doucement le commandeur au second officier du cuirassé devant l’ensemble de l’état major du « Proud of Emperor ».

 

« Boss, bocou vaisso Zoms pas baston ! » Le ton du baron noir est à la fois soulagé et un tantinet déçu : cela aurait fait une méga baston. Fork, lui, est ravi. Il lève le doigt et désigne un large secteur non encore couvert par la flotte humaine.

« Ork !!! Go !!! » C’est l’heure de la retraite. Les vaisseaux ork prennent la direction d’un secteur du système stellaire non bloqué par la flotte humaine. Ils pourront ensuite sauter dans le warp et s’échapper tranquillement.

« Stormblasta pas Go ? » Demande le Com’dent. Le big boss réfléchi un moment. Ces deux kuirassés sont des unités superbes... Mais s’il veut sauver la flotte qu’il vient de capturer, il doit les sacrifier pour retarder la flotte humaine.

« Go ! » Le ton est sans appel. Fork est maintenant le big boss de toute la flotte. Il lui faudra maintenant juste une victoire pour assurer son emprise sur les équipages orks de ses nouvelles unités. Il sera alors à la tête de la plus puissante flotte ork du secteur et de toutes les troupes qu’elle transporte encore. Pas mal pour le prix de deux gargant se dit Fork...

 

Le princeps Usagi examine les données fournies par les senseurs de son Titan. Il a du orienter un temps son armement vers les forces conventionnelles qui escortaient le Gargant ork. Le détachement de char de la garde avait été secoué par les tirs orks. Même si la majorité des dommages sont légers, la majorité des Leman russ touchés n’en étaient pas moins hors de combat. La force blindée qui l’accompagnait était actuellement à moins de 42% de sa capacité nominale de combat. L’artillerie qui aurait pu jouer un rôle majeur, ne s’est pas encore mise en position. Malgré cela, la situation tactique est bonne, le Gargant n’est plus protégé par ses champs de force. Et surtout, se dit avec satisfaction le Princeps, il arrive maintenant à portée de l’armement laser de la formation blindée des Dark Angel.

A ce moment précis, le capitaine space marine Romain donne l’ordre de tirer à sa force anti-char. Malgré les tirs reçus, les prédator n’ont pas bougé pour bénéficier de la meilleure visée possible. Les batteries alimantant les lasers, déjà surdimensionnées par rapport au besoin des canons, sont poussées au-delà des normes raisonnables. Lorsque le que tir est enfin déclenché, il en résulte un barrage de feu qui se révèle dévastateur.

Les blindages orks sont incapables d’absorber une telle puissance. Le Leva-lacha est presque arraché du corps du Gargant. Les soutes de munition du Gargant sont touchées de plein fouet. Plusieurs explosions bloquent l’arme ventrale qui se disloque et tombe de ses supports. Déséquilibrant le gargant. Mais les principaux dégâts ont lieux lorsque plusieurs générateurs d’énergie se déconnectent. C’est comme si le géant stoppait sur place. Les membres inférieurs, sans alimentation énergétique, se bloquent. L’obusier ventral, en tombant hors de ses supports, s’enclenche accidentellement. Son tir prématuré provoque un gigantesque geyser de boue, de flamme et de fumée alors que le géant oscille sur place. Le gargant pivote alors sur place et présente son côté gauche. Non seulement le gargant ork ne peut plus bouger, il ne peut plus attaquer, mais en plus, il présente moins de blindage au tir du Reaver.

Usagi, saisissant sa chance réoriente ses armes latérales. Les canons turbo-laser parlent en premier. Une salve de trois rayons fuse et traverse le géant. Le princeps grimace de dépit : Le gargant est toujours debout. C’est le tir concentré du lance plasma géant qui le fait enfin exploser.

« Au suivant ! »

 

Dans l’espace, la bordée du second kuirassé n’émet aucun bruit. Mais, les explosions autour des vaisseaux humains sont visuellement spectaculaires. Alors que Le Tellier se prépare pour une autre série de tirs, le Bossu est touché de plein fouet par un des gigantesques obus ork. L’impact sur l’un des champs de force provoque la transformation de l’énergie cinétique de l’obus en énergie thermique. Cette dernière vaporise la matière de l’obus en plasma brulant. Déjà surchargés en bloquant l’obus juste avant l’impact, Les écrans sont à la peine pour contenir cette chaleur et le rayonnement énergétique. De l’extérieur, le vaisseau ressemble à une gigantesque boule de feu. Malgré les amortisseurs gravitiques, la décélération subie par le Bossu est fortement ressentie par l’équipage. Plusieurs liaisons énergétiques sont rompues, rendant inopérantes les sections desservies. L’impact rejette le Bossu sur une autre trajectoire. Le vaisseau n’est pas détruit, mais il est désemparé.

Contournant la zone saturée par les tirs orks, les vaisseaux de défense continuent leur attaque. Deux autres vaisseaux de défense sont détruits lorsque les orks réorientent leur armement. Les débris présents dans la zone montre à quel point les tirs orks ont été particulièrement meurtriers.

Mais maintenant ce sont les humains qui sont à portée de tir. Les vaisseaux de défenses, ne sont même pas capables de patrouiller à l’intérieur d’un système stellaire. L’ensemble de leur coque blindée est réservé à un système d’artillerie navale de courte porté. Ce ne sont rien d’autres que des batteries de défenses orbitales dotées d’une certaine mobilité. Toutefois, lorsqu’ils arrivent à portée en nombre suffisant, ils sont redoutables. Deux vaisseaux sont trop endommagés pour tirer, c’est donc une salve d’une douzaine de pièces d’artillerie qui fusent vers le second kuirassé ork. Même au maximum de leur possibilité, les écrans du kuirassé orks ne pourraient jamais repousser autant de puissance. Ils tombent tous. Puis l’énorme vaisseau est secoué par un, deux, trois et quatre impacts. Chacun d’eux provoque des dégâts monstrueux. Pire, le contrôle des dommages étant inexistant chez les orks, cela provoque des décompressions explosives en série. Chaque paroi qui rompt à cause d’un sas ou d’une porte non fermée détruit de proche en proche autant compartiments sur le vaisseau ork.

 

Derrière le premier kuirassé, les escorteurs s’écartent des « cargos ». Ils sont suffisamment près du premier kuirassé. Les tirs de ce vaisseau contre eux sont peu puissants et notoirement imprécis. Visiblement, ils ne sont pas considérés comme dangereux. Une erreur fatale se dit le chef de l’escorte. Après un dernier examen, il donne l’ordre de lancer l’attaque. Par télécommande, les propulseurs des cargos sont poussés au-delà du raisonnable. La situation amuse les officiers. Les instructions spatiales interdisent de pousser les propulseurs au-delà des limites fixées par les constructeurs. Si cela avait lieu, les propulseurs finiraient par être tellement endommagés qu’il faudrait les remplacer. Ce qui immobiliserait le vaisseau… et détruirait leur carrière. Pour une fois, ils doivent passer outre ces limitations. Ce qu’ils font tous avec une joie presque enfantine.

La poussée supplémentaire donne une accélération suffisante pour obtenir des trajectoires de collision précises. Pas de quoi faire une course, se dit l’un des officiers, mais suffisante pour rendre la collision avec le kuirassé ork inévitable. C’est la dernière surprise de l’Arcadien. Sur des structures destinées à la construction de stations orbitales, il a fait fixer des propulseurs et des vaisseaux de défenses. C’est ainsi qu’ont été constitué les fameux « cargo » du convoi. Mais, les générateurs qui alimentent les propulseurs et les écrans de ces « cargo » sont des versions très modifiées. Les systèmes de sécurités ont été enlevés. Pire ces systèmes ont été modifiés pour aller précisément au-delà de leurs capacités normales. Ces modifications ont transformé tous ces engins en autant de bombes. Ce sont des brulots. Par rapport aux critères impériaux habituels, ils sont plutôt de faible puissance. Mais, il y en a neufs qui foncent vers un seul kuirassé dont les écrans de protections sont tombés…

Ce dernier à bien commencé à remettre en fonction ses écrans de protection, mais ils sont à peine au dixième de leurs capacités. La première explosion est entièrement absorbée par ceux ci qui s’effondrent à nouveau. Les autres explosions sont autant d’impacts qui finissent par désemparer le kuirassé.

« A nous maintenant ! » Les quatre escorteurs se mettent alors en position de combat. Ils ont gardé un profil bas tout au long du combat, rongeant leur frein. Mais maintenant, c’est leur tour.

 

Pythagork est assi sur son siège et tient ses leviers de commande. Cela ne sert plus à rien. Son poste de travail a été éjecté avec lui lors de l’explosion finale du gargant. Un peu sonné, il continue de faire fonctionner un équipement qui a été transformé en tas de ferraille. Puis, il observe la situation tout autour de lui. Les marines boyz remettent sur ses chenilles un de leur tank. D’autres marines boyz sont en train de prendre position sur les côtés pour prendre à revers les boyz qui accompagnait son méga-gargant. Un groupe de char se rassemble pendant que d’autres, touchés, subissent des réparations de fortune. La fumée qui monte de plusieurs épaves montre que son Gargant à fait parler la poudre se dit avec fierté et tristesse Pythagork.

Par contre, le gargant des zoms semble intact constate l’ork. Mais il va devoir faire face au deuxième Gargant, se dit Pythagork. Soudain, il se demande où sont les zoms. Il a repéré plusieurs fantassins. De l’avis général, un zom vaut à peine mieux qu ‘un gretchin à la baston. Mais là, ils y en a beaucoup ! Suffisamment pour détruire son énorme gargant ! Pythagork se demande soudain où il est. C’est à ce moment qu’il remarque qu’il est entouré de gardes impériaux. Chacun d’eux le regarde méchamment mais, étrangement, ne pointe pas son arme sur lui. Ils vont avoir une sacré surprise ricane l’ork en actionnant rapidement ses leviers.

C’est à ce moment qu’il réalise qu’il n’est plus connecté au canon géant du gargant... et que les gardes pointent lentement leurs fusils sur lui...

 

« Pacha nous récupérons les propulseurs A, B et D. Il nous reste un seul écran. Il est à 37% de sa valeur nominale... » Énumère l’officier responsable de la sécurité du bord. Aussitôt touché, l’équipage s’est précipité aux postes de sécurité. L’équipage du Bossu est composé de vétérans. Malgré le coup du sort, les hommes du Bossu ont gardé leur sang froid et ils se sont lancés dans des réparations d’urgence. La solidité du Bossu conjugué à l’intervention de son équipage permettent non seulement d’envisager la survie immédiate mais aussi la reprise du combat.

Lagardère mesure alors la chance qu’ils ont eu d’être envoyé sur une trajectoire en dehors de la zone de tir des kuirassés ork. Le Bossu n’aurait pas survécu à d’autres impacts.

« Timonier ! Stabilise ! » Il faut qu’il reprenne maintenant le contrôle de son vaisseau. Ils ont récupéré la propulsion et peuvent reprendre le contrôle de leur trajectoire. Son vaisseau à souffert, mais il est toujours là !

« Situation tactique ?  » Demande Lagardère. L’officier tactique remplace l’officier énergie.

« La flotte ork se replie. Kuirassé « un » hors combat, l’escorte l’achève en ce moment. Kuirassé « deux » sans écran, dégâts latéraux tribord important. Mais il vient de larguer des chasseurs pour repousser les vaisseaux de défense. Il en reste maintenant onze, mais ils sont incapables de lutter contre les chasseurs orks. »

« Zut !!!  Que fait notre flotte ? » Demande le commandant du Bossu.

« Heuuuu... Elle semble tenter une manœuvre d’enveloppement pacha. Les détecteurs longue portée ont mangé grave !!! On est sacrément myope !!! » Répond, gêné, l’officier. La manœuvre de la flotte est pire que de la lâcheté, c’est stupide ! Lagardère ne dit rien. Mais les membres de l’équipage le connaissent suffisamment bien pour savoir que chez lui c’est pire qu’une explosion de colère.

« Transmission ! Demandez au commandeur Lowe de bien vouloir suivre le plan et de venir à notre secours.

Tactique ! On est où par rapport à notre cible ? Je ne vois rien ; mon écran tactique est mort ! »

« Sur sa poupe, Pacha !» Répond l’officier tactique. Lagardère à un large sourire. Un sourire carnassier.

« Artilleur ! Je veux un tir sur le kuirassé. On va lui refaire le fond du caleçon ! Il faudra ensuite que tes gars repoussent les dakkajets des orks. » Demande le pacha.

« Pour le caleçon, c’est ok. Par contre la DCA inférieure est HS. Il va falloir coller le kuirassé pour protéger notre ventre. » Répond Le Tellier. Lagardère jure et se lève. Il approche de la timonerie.

« Lève-toi « Tim », je prends les commandes ». Le timonier regarde son commandant. Il hésite quelques seconde et finit par se lever. L’officier tactique prend la parole.

« Commandant, nous sommes trop endommagés pour lancer une attaque... » La passerelle semble s’immobiliser sur place. Le terme est officiel, mais guère usité sur la passerelle d’un engin de la flotte spéciale arcadienne. Lagardère ne semble pas gêné. Mais, il est le seul. Même l’officier qui vient est pâle et semble s’étrangler sur place. Même si les rapports ne sont pas formels, la discipline est une valeur fondamentale à bord du Bossu.

« Il va tenir ! T’as compris mon gars ! Il faut qu’on aide ces mômes ! » Comme si le vaisseau comprenait, plusieurs voyants passent alors au bleu ou au vert. Un jet de plasma sort des propulseurs encore en état de fonctionner. Le Bossu semble se secouer et accélère.

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