Une nouvelle dans l’univers de W40K : Le grot - Chap 7 - Adaptation

Le grot  

Chap 7 - Adaptation

A la nouvelle, le sergent Caylus accuse le coup. Il est seul maintenant. Le sergent de l’autre escouade, Gonzagues, vient mouroir de ses blessures. Depuis la disparition du Techmarine, les space marines ont perdu en tout quatre des leurs. Tous les autres sont blessés. Pire, les munitions sont presque épuisées. Deux des marines ont même récupéré des fusils lasers aux marins pour avoir une arme. Rare point positif, le contact avec les bases orks reste préservé. Les groupes de marins ne cessent pas de fournir des éléments sur l’évolution des mouvements des orks. C’est un travail frustrant, mais indispensable. Les orks ont déjà fini de remettre en état l’aérodrome. Le spatiosport est encore en cours de réparation, mais un nouveau vaisseau spatial ork est déjà mis en chantier à partir des épaves présentes. Les deux escouades avaient monté sept embuscades et un raid en deux semaines. Toutefois, la multiplication des nouveaux kopters les gênaient considérablement. Ces modèles d’assaut étaient fragiles, mais ils pouvaient transporter plusieurs orks et ensuite les soutenir leurs armes lourdes. Les modèles plus classiques pouvaient même apporter une puissance de feu supplémentaire en les escortant. Et les deux escouades sous ses ordres n’avaient pas d’armement capable de les abattre ou même de les endommager.

Il lui faut trouver un autre mode opératoire pour gêner les orks. Mais la pression est trop forte. Un repli est presque une obligation dans leur situation. Mais cela laisserait l’initiative aux orks. Et puis un repli vers où ? Dans quelle direction ? Il n’y a pas de base arrière ou de ligne vers laquelle se replier pour lui et ses hommes ?

Plongé dans ses réflexions, le space marine a failli ne pas remarquer l’icone qui s’affiche dans son casque. Puis, il finit par l’activer, incrédule.

« Techmarine Bertin, vous êtes vivant ? » Caylus a parfaitement conscience de poser une question parfaitement idiote ; les morts tentent rarement de communiquer avec vous par ondes radio.

Le Bossu, se glissa discrètement dans le système. Il était accompagné de 2 autres engins de même taille. Ils essayaient de suivre la patrouille ork sans se faire repérer. Suffisamment loin de celle ci pour ne pas être détectée de celle ci. Ce qui impliquait de rester dans l’angle mort des senseurs les plus puissants des patrouilleurs. Et suffisamment près de la patrouille pour être confondue avec elle par les autres vaisseaux orks en orbite de Gallipoli. Un exercice difficile, hasardeux même. Mais dans lequel ils excellaient. Adoptant discrètement une formation de type ork, les amplificateurs des senseurs passifs sont mis à fond pour enregistrer la moindre parcelle d’information. Les orks communiquent entre eux par télépathie. Une capacité limitée dont ils n’avaient pas conscience. Cela expliquait les limitations de leur langage articulé. Plus ils étaient nombreux, mieux cela fonctionnait. Toutefois, lorsqu’ils étaient en nombre limité ou séparés par des distances importantes, les orks recouraient à des messages radio primitifs mais efficaces. Les enregistreurs des trois vaisseaux arcadiens fonctionnèrent pendant deux jours standard, suivant précautionneusement, les trois canonnières de types sauvag' qui patrouillaient. Au bout de cette durée, un petit drone se détacha discrètement du bossu. Le petit engin était de la taille d’une torpille, presque invisible, il fit en chemin inverse et sorti du système au bout de plusieurs heures. Les Arcadiens n’avaient pas été repérés, et ils tenaient encore à leur discrétion.

Le Techmarine termine de modifier l’aspect des cinq robots choisis. Il ne peut s’empêcher d’être amusé par le plan décidé par ... le « grot ». Quel nom s’est il choisit. Les grots sont faibles, lâche et sournois. Mais ils sont rapides, discrets, malins et beaucoup plus dangereux que les humains veulent bien l’admettre. Le Techmarine se demanda jusqu’à quel point ce surnom allait bien à ce jeune homme. Autre ombre au tableau, il faudra que son propre aspect soit également modifié. Son nouveau corps était efficient, mais il présentait un aspect beaucoup trop « industriel » à son goût. Une ou deux plaques de blindage, un peu de peinture... et cela irait mieux. Le Techmarine se reconcentra sur le plan décidé. Bien que convaincu par la pertinence du plan choisi, il restait l’œuvre du « grot ». Et par certains côtés il était bien peu martial. Sa fierté de space marine allait en prendre un coup ! Il se reconcentra sur les robots choisit pour cette mission. Là encore, le « grot » avait bien travaillé. Il avait repris des robots de manutention et les avait modifiés pour en faire des engins de combat très acceptables. La seule chose qui lui avait manqué était les connaissances techniques pour créer les sous-programmes avec des données de contrôles et d’asservissements corrects. Les connaissances fournies par les implants du Magos n’étaient pas suffisantes pour donner forme aux idées imaginatives de ce jeune homme. Le Techmarine le regarda discrètement avec ses nouveaux senseurs optiques. « Le grot » paraissait insignifiant. Un jeune homme, maigre. Seule distinction, le bandage sur la tête. Les senseurs du Techmarine lui confirmèrent la réussite technique de l’opération. Une vraie réussite qui ne pouvait que le conduire à sa perte. Porter des implants était trop exigeant pour un organisme humain non modifié. Une idée germa alors dans l’esprit du Techmarine. Et si ...

« Zut !!! » Crie le grot. Celui ci est excédé, malgré de nombreuses qualités, il reste un gamin qui a du mal à gérer la frustration. Avec amertume, le Techmarine se rappelle qu’il était une boite de conserve dont la partie organique avait déjà dépassé le siècle et demi terrien...

« Un problème ? »

« Je ne trouve pas de données sur l’arrivée de l’expédition qui a fondé Gallipoli !!!. Je me suis connecté aux bases de données historiques de la ville et à d’autres administrations. Je n’ai rien d’autre que des livres d’histoire et des contes pour enfants. Oubliés pour la plus part. Je ne m’en rappelais d’aucun...  »

« Que raconte ces livres d’histoire ? » Coupe le space marine

« Pas grand-chose. L’expédition a du atterrir en urgence lors de la bataille spatiale, gagnée d’ailleurs. Une base a ensuite été implantée pour protéger les de toute attaque orbitale. Le temps passant et la population augmentant, une première ville a été créée. Proche des ressources locales. Celle où nous nous trouvons. Puis, plusieurs autres ont été créées. Un début de guerre civile a été évité au bout de nombreuses années par le retrait des forces militaires défendant la planète. Celle-ci se sont retirées et concentrées sur la base initiale. Ils devaient veiller sur la défense de la planète et ne pas se mêler des affaires internes. Il y eu ensuite une grande épidémie sur toute la planète. La population a été décimée. De nombreuses connaissances ont alors été perdues. Le contact avec la base a été alors perdu et elle est entrée dans le domaine de la légende.»

« Les militaires ont du également être décimés par l’épidémie. Rien d’autre, sur le réseau et les banques de données ? »

« Rien ! Mais j’ai laissé des programmes vers pour qu’ils localisent d’autres informations si elles existent dans d’autres bases de données » Le Techmarine était perplexe. Les militaires auraient gardé une liaison avec les autorités locales au cas où. C’est du moins ce qui lui aurait fait dans une situation comparable. Même si ...

« On parle de données vieilles de plusieurs millier d’années. Les systèmes informatiques ont tous été changés depuis. Tous les liens physiques ont du être détruits, modifiés ou changés. Mais il peut rester des archives officielles et des plans dans les administrations publiques. Sur des sauvegardes papiers ou autre. Mais ces données n’ont peut être tout simplement pas été mises en réseau. Votre monde se distingue par une période de paix exceptionnelle. La base doit donc toujours exister. »

« Nous n’avons pas le temps de visiter chaque archive ! » Répond, amer, le « grot ». Le Techmarine est amusé. Imaginatif, mais jeune et impatient ... un vrai gamin !

« Jeune « grot » va ... Il y a bien des systèmes autonomes pour l’entretien et l’accès aux archives, non ?  Il suffit que tu te connecte à eux par le réseau et que tu les reprogrammes pour faire les recherches. Tu ne sais pas programmer à distance des robots ?»

...

« Une fois que nous aurons des données sur la base, grâce aux codes de L’Epiméthée, nous pourrons prendre le contrôle de la base. Du moins si elle a gardé sa programmation initiale et en espérant qu’elle existe encore. Pendant que tu t’occupe de cela, je termine le camouflage des robots et de ton armure. Puis, il faudra que travaille sur le mien ! Une fois que nous serons prêts, tu appelleras tes grots et nous pourrons y aller » Le jeune homme, se renfrogna, râla et se mit au travail. Dix minutes passèrent et en chantonnant, il quitta la console pour le banc technique. Le Techmarine rit intérieurement. Ahhhh les gamins  ...

Boumboumek réfléchissait. Ce qui était non seulement difficile pour un ork, mais pouvait même paraitre dangereux. L’attaque des marines boyz dans les gros bomba a détruit une part importante des chassa bomba. Il y a remédié en créant de gros kopters. La construction d’autres chassa bomba reprenait. Même si il faudrait un certain temps avant de pouvoir faire voler les premiers. Par contre, pour les kroiseurs, c’était beaucoup plus difficile. En orbite, les épaves étaient irrécupérables, au sol, les anciens cargos étaient détruits. Mais, il restait plein de propulseurs et d’autres éléments qui avait été stocké à côtés. Ceux ci restaient intacts, malheureusement une seule une coque était récupérable...

Et si... et si il faisait mettre tous les moteurs sur cette coque, avec pleins de générateurs dedans. Il aurait ensuite un gros arrière de kroiseur, mais sans armes ... Il fallait absolument qu’il voit ce qu’il restait des kroiseurs détruits en orbite. Il devait bien pouvoir en tirer une partie avant, avec pleins de kanons et puis des krack torpilles et puis ...

« La patrouille adverse entre dans la zone d’ombre » Lagardère hoche la tête au commentaire de son officier navigation. Pendant bref un instant, la patrouille adverse sera hors de toute ligne de vue de Gallipoli. Un champ d’astéroïde se trouvant entre la patrouille et le reste de flotte ork, toute transmission ou tout suivi par onde électromagnétique est impossible.

« Au poste de combat. Mettez sous pression les propulseurs. Que le brouillage soit prêt ... » L’ordre est inutile, Lagardère a confiance en son équipage. Ce dernier connait son travail et à déjà tout préparé. De fait, les confirmations des différents postes du vaisseau arrivent au Centre Opérationnel.

« Energie à 89%, à poste »

« Brouilleurs prêts, Centre Détection et Guerre électronique à poste »

« Centre opérationnel à poste »

« Ecran à 77% en charge » ...

Chaque porte confirme. Une procédure qui semblerait inutilement contraignante pour un regard extérieur. Mais chaque marin doit confirmer que tout va bien de son côté. Une panne non détectée pourrait entraîner l’échec de la mission prévue. La seule sanction serait la destruction du navire et la mort de son équipage. Lagardère réprime son impatiente. Il aurait pu accélérer et foncer sur l’adversaire sans attendre. Mais il se serait dévoilé trop tôt. En moins d’une minute, le bossu était pleinement opérationnel. Les deux engins qui suivaient le même vecteur se préparaient de la même façon.

Grork jette sa bière. Il était le Nob commandant le camp et, surtout, il était de très mauvaise humeur. Il aurait préféré se battre, mais les zoms s’étaient rendu depuis trop longtemps. Fichu trucs roses !!! Tous des lopettes !!! En plus, leur bière était nulle !!! Pire, des marines boyz étaient venus sur la planète, mais pas un seul était ici pour un bon bourre pif ! Grork s’ennuyait à mourir. L’un de ses boyz appela, un méga nob venait dans le camp. Peut être pour une baston ?

Arrivé à l’accès du camp, Grok observe avec attention le groupe qui arrive. Des Grots ... aussi agités que les siens. Un méganob. Sa méga armure est tellement blindée que l’on ne voit même pas sa tronche. Grork prend le temps d’admirer celle-ci. Elle est belle, rouge, avec des gros fling à chaque bras ... supercool. Avec 5 méga armure du même genre et un dread d’la mort. Grork commença à s’exciter. Une bande de méga nob ! Une telle unité ne se déplait pas sans raison. Enfin de l’action !

« Ki ki? »

« Moi, Grork komande ici !!! » Grork aurait aimé voir le visage de son interlocuteur. Sans savoir pourquoi, Grork trouve étrange ce méganob. Tout semble... ork, mais il manque quelque chose ... Un des grots s’agrippe à sa jambe en demandant quelque chose. Un coup de pied envoi voler la chétive créature. Le Méganob prend alors la parole, coupant la réflexion de Grork.

« Tu rassemble boyz à Toi. Pour boyz des autres nobs du coin pareil, Ze marines boyz band’ arrive. Orks faire gross embuscad’ à marines boyz band» Le déversement d’hormone dans l’organisme de Grork achève de détruire ses derniers doutes. L’excitation du combat à venir balaye ses questions. Cela sera une super baston. Les marines boyz valaient pas les orks, tout ork le savait. Les orks sont verts. Mais les bourre pif avec les marines boyz faisaient quand même des méga bastons. En quelques secondes, il y eu des cris et des hurlements. Puis, des trucks, les véhicules orks se mirent à vrombir. D’un seul coup, il ne resta plus sur la place que des grots et le groupe de méga nob avec le dread. Les orks étaient tous parti à la baston.

Après avoir constaté le départ des orks, le dread hurle quelques mots et les grots s’évanouissent dans la nature. Après quelques minutes, le Dread et le méga nob qui commandait observe avec attention le camps. Le groupe qui vient d’arriver est seul pour garder le camp. Le Dread se met alors à parler dans un langage impérial parfait.

« Qui commande parmi les prisonniers ? » ...

Le commandant Riessman écoute, interloqué l’histoire racontée par les deux hommes en méga armure. Enfin des humains, plus que des hommes se dit il en aparté. Homme d’action, il donne l’ordre rapidement à certains de ses hommes de se grimer en ork. Il faut toujours donner l’illusion que les orks gardent le camp. Cela fait, il se tourne vers ses interlocuteurs.

« Vous avez sécurisé le camp. Nous en avons le contrôle, bien et ensuite ? »

« Ensuite, nous devons trouver le moyen de faire venir mes escouades de space marine ici. Les marins sont moins prioritaires. Il faut que mes escouades se réarment et se réorganisent. Pour cela, nous devons trouver le moyen d’occuper les orks du coin, voire de les attirer ailleurs. Les orks vont montent une embuscade pour détruire mes escouades. Mais ils ne resteront pas éternellement à les attendre. Ils vont finir par se poser des questions. En attendant de trouver une solution à ce problème, nous allons, avec ce jeune homme, remonter un réseau de communication. Le matériel est camouflé à l’intérieur des robots qui nous accompagnent. Quelle est la situation ici ?»

« Très bonne » Répond un Riessman qui essaye d’intégrer tous les éléments de cette situation

« Comment ? » C’est au tour du Techmarine Bertin d’être surpris.

« Les orks sont des combattants très rudes. Mais, une fois le combat terminé, ils attendent. Nous avons découvert que si nous les ravitaillons en armes, en munitions et surtout en bière, ils nous laissent en paix. Seuls les militaires, sont enfermés dans les camps, gardés par les orks. Les civils sont à l’extérieur du camp et travaillent sous la direction des mékanos. Les prisonniers sont laissés tranquilles, tant qu’ils ne font pas remarquer. Etant donné que les orks se sont concentrés ailleurs ... » Le Techmarine était horrifié. Des guerriers qui laissent les jardins de l’empereur aux mains des orks ! Il ne put s’empêcher de hurler.

« C’est de la trahison !!! »

« C’est de la survie ! Où étiez vous lorsque nous aurions pu faire quelque chose ???!!! » Le « grot » intervient avant que le Techmarine et le commandant Riessman en viennent aux mains.

« Savez vous où les orks stockent leurs munitions, leurs armes et leurs matériels ? »

« Bof, c’est pas de la meilleure qualité, armes trop encombrantes, munitions non calibrées. Nous prendrons plutôt sur nos stocks »

« Sur vos stocks ? Mais je vous croyais prisonniers ? » Demanda le Techmarine, surpris.

«  Nous fournissons les orks en munitions et en armes. Cela veut dire que nous avons put rétablir nos chaine de fabrication. Du moins de manière limitée et sous la surveillance des orks. Mais ceux ci ne sont pas des gardes efficaces, comme je vous l’expliquais. Tranquillement, nous nous préparons pour une occasion spéciale. La bière nous permet d’occuper les orks. Reste à trouver quelque chose pour les gretchins. Ils grouillent partout et nous gène considérablement » A ces mots, le « grot » sourit. Il a la solution.

« Le café, les gretchins sont accro à la caféine !!! ... » Ce coup ci c’était Riessman qui est surpris.

« Et merde ! Vu leur nombre, je ne vais pas pouvoir me verser une tasse avant longtemps ! Sergent, vous avez entendu ? »

« Oui commandant ! J’organise un buffet pour les nabots de suite !!! »

 « Bien. Ne serait-il pas plus sage d’attendre l’arrivée des renforts de l’Impérium ? » Demanda le commandant.

« Non, Gallipoli n’est pas sur les routes impériales. Du point de vu de l’Impérium, c’est donc une planète sacrifiable. » Riessman grimace. Mais il apprécie la franchise de ses interlocuteurs. Le Techmarine reprend.

« Les orks semblent pris d’activités créatrices redoutables : Vaisseaux, chasseurs, bombardiers ... Lorsqu’ils en viendront à fabriquer des Gargants, les orks ne seront pas longs à organiser une waaagh. Ce genre de chose est presque impossible à arrêter. La procédure standard impériale est de détruire la planète où se préparer une waaagh si on ne peut en prendre le contrôle avant... »

« Merde !!! Vous aurez accès à toutes nos ressources !!! Jeune homme, vous pouvez mettre en place votre réseau de communication avec les autres villes. Sergent ! Regroupez les techs disponibles, ils sont placés sous les ordres de ce gamin » Le sergent, qui vient à peine de revenir, confirme l’ordre et ressort.

« Oui commandant » répondit le « grot » un peu étonné de se trouver qualifié « d’homme »... puis il réalise qu’il a dans le même temps été qualifié de gamin...

« Commandant » reprend le Techmarine « J’ai besoin de transporter rapidement mes hommes, et de les doter en armes et munitions. Savez-vous si les orks ont laissé des moyens de transports rapides comme leurs fameux hélicoptères bi-rotors »

« Les fameux Chinoork ? Non ils ont du partir avec tous leurs engins »

« Zut !!! Cela aurait été parfait !!! » Le Techmarine est déçu, il faut absolument qu’il trouve un autre moyen de transport rapide. Il peut toujours leur faire contourner l’embuscade en prenant contact par radio. Mais sans aucun moyen de transport, ses space marines finiront par être rattrapé par les orks rapidement.

« Vous ne préférez pas quelques engins d’assaut à décollages et atterrissage vertical ? » Demande le commandant Riessman.