Une nouvelle dans l’univers de W40K : Le grot Chap 12 - Préparatifs
Une nouvelle dans l’univers de W40K : Le grot
Chap 12 - Préparatifs
L’arrivée des premiers transports de troupe de la base fut un soulagement pour ceux qui travaillaient à fortifier l’entrée. Cela signifiait qu’ils n’étaient plus seuls. Mieux, cela impliquait que la base et ses armes et munitions était une réalité. Les marins, notamment, n’avaient pas démérité, admit Caylus. Ils avaient rapidement piraté le contrôle des portes blindées du souterrain pour en prendre le contrôle. Puis ils avaient remis en état les antiques mécanismes. Surtout, ils avaient participés à la fortification des postes de défense derrières les portes. Si leurs connaissances tactiques laissaient à désirer, leurs compétences techniques étaient largement au-dessus de celles du garde impérial moyen. Les marins avaient rapidement répondu aux souhait du sergent space marine. Ils avaient astucieusement travaillé avec les moyens du bord. Trouvant des solutions originales, mais efficaces aux problèmes qui se posaient. Caylus dut s’avouer que les résultats dépassaient ses espérances.
Caylus avise le transport de troupe. Un engin simple, rustique, efficace. Pour le sergent space marine, c’est grosso modo une boite blindée posée sur deux paires de roues surdimensionnées. Sur le coin avant droit était installée une tourelle d’autocanon avec un panier lance roquette coaxiale. Cette tourelle était visiblement télé-opérée de l’intérieur ; elle était trop petite pour abriter un opérateur. Sur le côté avant droit se trouvait le poste de pilotage blindé. Plus intéressant pour le space marine à ce stade des opérations : Le ravitaillement contenu à l’intérieur des véhicules. Les marins avaient bien travaillé, mais ils étaient épuisés et surtout affamés ! Malgré leur motivation et leur potentiel, ils n’avaient pas l’endurance de space marines sous ses ordres.
Caylus donne l’ordre à ses hommes de se restaurer. Même un space marine travaille mieux le ventre plein. Caylus se remet à examiner le matériel amené par les véhicules tout en mangeant lui aussi. L’armement était presque rudimentaire. Mitrailleuses, fusils d’assaut, lance grenade et explosifs. Mais, il suffirait largement à doter les hommes sous son commandement. Une fois la nourriture absorbée, Caylus fait venir ses hommes et le maître d’équipage pour procéder à une nouvelle répartition des hommes en vu des tâches à accomplir.
Gurtzzz examine la munition trouvée par ses boyz. Si le nob ne brille pas par son intelligence. Son instinct de chasseur lui fait déjà renifler la piste de la proie qu’il convoite depuis si longtemps : les marines boyz. Des schémas tactiques avaient été codés dans ses gènes par les créateurs de sa race il y avait plusieurs millénaires. Il y fit appel, instinctivement, sans en être conscient. Puis, il hurle ses ordres. Il veut rassembler l’ensemble des boyz sa bande qui se trouvent encore au col. Gurtzzz veux tout, des boyz jusqu’au moindre grot pour se lancer à l’attaque de ses proies. Il veut massacrer cette bande de marine boyz. Lui Gurtzzz, allait montrer à Fork qui était le plus fort des nob !!!
L’amiral Forbin observe Lagardère et les commandant de l’Indomptable et du Redoutable. Tous les trois sont réticents. Il les comprend. L’amiral n’aime pas lui aussi l’ordre qu’il vient de donner. Mais ont-ils seulement le choix. Encore une fois, il se met à regretter son rang et se prend à rêver d’être seulement un simple matelot. Puis, devant le silence réprobateur se reprend.
« La base existe et est investie par nos troupes au sol. C’est bien. Les données que vous avez put capter de Gallipoli grâce à votre panne - comment qualifier celle ci ?- providentielle, nous l’affirme» l’accent porté sur le providentiel de l’affaire met le rouge aux joues de Lagardère. Personne n’est dupe. Mais les flottes spéciales agissaient toujours de manière moins disciplinée. Ce qui faisait tout leur intérêt.
« Mais toutes nos estimations et nos simulations font ressortir le même schéma : Il est impossible aux troupes humaines sur Gallipoli de disposer de suffisament de potentiel humain pour armer le matériel de la base. Même si elle avait été maintenue opérationnelle, ce qui reste improbable. » Le silence lui répond. Cela ne leur plait pas, mais l’amiral a raison. Tous en sont conscients.
« Maintenant, les forces spatiales ork sont alertées. Nous ne pouvons plus espérer pouvoir nous infiltrer discrètement dans leur espace orbital. Malgré les dégâts qu’on leur à déjà occasionnés, leurs forces spatiales restent beaucoup trop puissantes. Nous ne pouvons raisonnablement pas tenter un débarquement sur cette planète pour contester la suprématie ork au sol » Autre silence, rageur, des officiers présents. Il y a comme une sensation d’échec.
« C’est moche ! Mais, aucun de nous n’a le choix. Le plan est le suivant ; on insère la flotte, en force, dans le système. La réponse ork sera rapide. Leurs éléments de patrouille vont alors nous attaquer. L’attention des orks sera ainsi captée. Vous et vos vaisseaux camouflés en vaisseaux « orks » profiterez du désordre de ces premiers accrochages pour foncer vers Gallipoli. Une fois en orbite lointaine. Vous larguerez des têtes nucléaires sur le spatioport, l’aéroport et la ville plus proche. Cette dernière contient la concentration la plus importante de troupes orks. »
« Les pertes humaines seront atroces ! Et nos marins sont encore en bas ! » Conteste Lagardère.
« Et vous croyez que je ne sais pas !!! » Les deux hommes se font face. Lagardère céda le premier. L’amiral a raison. Tous les officiers présents redoutent la création d’une waaagh qui toucherait leur propre monde.
« La colonie humaine sera particulièrement affectée par le bombardement. Surtout à long terme. Malheureusement, ce seront les orks qui s’adapteront facilement. Mais, et c’est notre but, leur capacité militaire sera alors brisée net. C’est la seule solution disponible. Les autres moyens d’action impliquent des ressources que nous n’avons pas actuellement. »
« Et si on faisait disparaitre les vaisseaux orks dans le système ? » Demande Lagardère.
« Vous avez une baguette magique ? Je vous savais astucieux, mais pas magicien ! S’Il n’y avait pas autant de vaisseau en orbite autour de la planète, la question serait totalement différente. Bien sur ! Nous pourrions alors utiliser la base adverse comme une tête de pont et une base logistique avancée. Il serait facile de déposer des troupes et du matériel. Mais leurs forces en orbite sont trop importantes. Nous n’avons tout simplement pas le temps de concentrer suffisamment de vaisseaux de la flotte pour monter une attaque en règle. C’est impossible. Et vous le savez ! » Un silence règne dans la salle. L’amiral a gagné, ce qui le désole tout autant que les autres. Après un moment de silence, il reprend.
« Vos vaisseaux sont en train d’être réapprovisionnés. Les armes que vous allez utiliser sont en cours d’installation par nos spécialistes. Des questions ? »
« J’aurais besoin d’un senseur radar spécial pour le guidage au sol » répond tristement Lagardère... Cela ne lui plait pas. Cela l’horrifie. Mais la pensée d’une waaagh ravageant des dizaines de mondes humains est encore plus terrifiante...
Fork entre dans la passerelle du vaisseau, suivit de Boumboumek. Cet engin appartient à la bande de Gurtzzz. Autrefois c’était un gros cargo humain. Les orks l’avait capturé et transformé en base opérationnelle mobile pour chassa bomba. Mais les récentes pertes des bandes de chasseur face aux zoms limitaient fortement son potentiel opérationnel. Face à ce constat, Fork estimait qu’il était temps de remotiver l’équipage du vaisseau.
« Ki kest le boss ici ? » Demande le Big boss.
« Moi, Boss ici. Moi nob de Gurtzzz !!! » Fork regarde le massif ork qui vient de lui répondre. Il secoue la tête et tire !!!
« Ki kest le boss ici ? » demanda encore Fork en fixant un à un les orks présent sur la passerelle. Fork finit par repérer un ork. Ce dernier est célèbre. C’est le boss des chassa-bomba : le « baron noir ». Pilote exceptionnel, l’as n’est pas à l’aise dans les corps à corps, un fait connu de tous les orks de Gurtzzz. Avisant le redoutable et imposant big boss, le baron noir avale sa salive. Il adore la baston, mais seulement aux commandes de son chassa. Le commandement d’un vaisseau, même de cette taille ne l’intéresse pas. Le mouvement de la pince énergétique de Fork le ramène à la réalité.
« Moi, big boss.»
« Cool !!! Toi boss vaisseau de Fork !!! » Le baron noir sursaute ! Un autre mouvement de la pince de Fork l’oblige à prendre une décision rapide
« Moi !!! Nob de vaisseau de Fork !!! » Fork affiche alors un sourire effrayant. Il détestait le côté administratif de la gestion des ressources humaines. Mais tout ce temps perdu était payant. Il avait pris le contrôle du deuxième vaisseau de transport ork, il pourrait ainsi contrôler tous les mouvements des chassa bomba en orbite. Un premier pas décisif vers le contrôle total de la flotte ork.
« Big boss Fork ??? » Demande timidement le Baron noir. Fork pivote sur lui-même, en levant son Fling’ vers le Baron noir.
« Je pourrais avoir des maouss’ fling’ sur le vaisseau ? » Fork s'arrête juste avant d’appuyer sur la gâchette. Il s’attendait à une contestation quelconque ? Pas à une demande technique. Fork considère la question et, étant incapable de répondre, il se tourne vers son mékano.
« Plein fling’ dehos, plein fusées, On prend. On soude. On a un kroiseur rapidos et maouss kosto avec plein de fling’ ... » Fork et le Baron noir considèrent avec envie le mékano. Ils avaient pris possession d’un vaisseau de transport et Boumboumek leur offrait un kroiseur. Salivant d’avance, le Baron Noir coupe la parole à son Big boss.
« Besoin de koi ? »
« Mékanos, Tous mékanos pour boulôt ! Moi, boss des mékano pour kroiseur Baron noir !»
« Mékano Ici !!! » Hurle le Baron Noir. Fork regarde en souriant le nouveau commandant de son vaisseau. Il doit les laisser bosser ! Il sort de la passerelle, laissant Boumboumek et l’équipage s’occuper de la teknik !
Le « grot » a un bref malaise. Il travaille depuis des heures. Mais ce n’est pas la fatigue. Son implant exigeait de plus en plus de son organisme et l’affaiblissait. Il avise le robot de combat géant. Il s’agissait d’un corps blindé posé sur des « jambes de poulet ». Cette analogie le fait rire. Ce corps était bardé de senseurs et de système de communication. Sur les côtés, il y avait une batterie de quatre autocanons. Un armement puissant, mais secondaire. L’armement principal était composé de missiles répartis dans deux systèmes de lancement situés au-dessus l’arrière du corps blindé. À l’avant inférieur, deux bras supportait chacun un lance-plasma lourd et primitif. Les porter sur de tels supports garantissaient des champs de tirs exceptionnels, mais surtout cela garantissait l’intégrité de l’ensemble de l’engin en cas de surchauffe. Même pour l’Impérium, les armes à plasma étaient aussi dangereuses qu’instables. Ces robots exigeraient énormément de travail pour les remettre en état de combattre... Pourtant, il rêvait de piloter un tel engin...
Après quelques secondes passées à rêver, le « Grot » reporte son attention sur les panneaux de contrôle. Son travail est important. Pendant ce temps, le Techmarine Bertin organise le réarmement des véhicules blindés dédiés au transport de troupe. Ces engins ont été choisit pour être remis état les premiers. Ils peuvent fournir à l’expédition des moyens logistiques et de transport qui lui sont indispensables. De plus, leur capacité de combat est loin d’être négligeable. Cette phase achevée, c’est au tour des robots de combat. Ce sont des engins humanoïdes. Les modèles sélectionnés parmi ceux en réserve sont tout simplement les plus rapides à mettre en état de marche. Le « corps de ces engins contenait un poste de pilotage blindé. Les senseurs sont situés au-dessus du blindage de ce dernier sur le côté gauche. L’armement principal est un obusier court installé de l’autre côté du torse. Le bras gauche contient deux autocanons jumelés. Le bras droit est finit par un poing de combat avec sur l’avant bras une mitrailleuse à vocation anti personnelle. Ce sont des engins rustiques et faciles à équipés. Mais, ils ne seront pas opérationnels avant plusieurs heures.
Le principal problème rencontré par l’expédition est le manque de personnel. Il manque des pilotes. Il manque des mécaniciens. Il manque des opérateurs pour les transmissions... Les robots de la base sont utiles, mais ils ne suffisent pas. De plus, malgré un bagage technique certain, les hommes et les femmes de l’expédition ne connaissent pas ce matériel. Ils sont obligés de s’interrompre sans cesse pour demander des directives au Techmarine ou au « grot ».
Au Centre Opérationnel, un tableau affiche de nouvelles données devant le « grot ». Les batteries des armes capables de défendre la base d’attaque orbitale seront bientôt opérationnelles. Le travail des marins pour remettre en fonction opérationnelle les groupes énergétiques a des effets imprévus. Imprévus, et malheureusement inutile : les batteries sont profondément enterrées maintenant. Le « grot » soupire. Des dizaines de chasseurs capables de mener des attaques en orbites sont stockés dans la base et pourraient lancer une attaque orbitale. Il faudrait qu’ils soient réarmés. Mais ils n’ont pas de pilote dans la base. C’était dommage. Avec leur système d’identification, ils auraient pus attaquer les vaisseaux récupérés par les orks sans même activer leurs senseurs, simplement en les lançant une recherche automatique des engins spatiaux de l’expédition originelle... L’attaque aurait bénéficiée d’une surprise totale. Le « grot », songeur, regardait encore les données sur les chasseurs lorsque le système de transmission se manifesta.
Le commandant Riessman et ses hommes avaient réussi à joindre l’un des groupes d’observation des marins arcadiens. Il était accompagne des groupes tactiques de soutien qui avaient mené l’attaque de diversion. D’autres groupes tactiques, laissés en renfort, avaient rejoint les autres postes d’observation. Cela avait permis de ravitailler ces derniers et de les renforcer dans le même temps. Le mouvement s’était bien passé. Il n’avait pas été repéré par les orks. Riessman était satisfait, malgré le manque d’entrainement, ses hommes étaient restés opérationnels. L’infiltration de la base s’était bien passée. Même si tout cela avait été chèrement payé. L’ensemble des troupes se rassemblait à l’écart, près de l’entrée principale de base. Il s’agissait des derniers groupes de marins du « Chevalier Paul » et des derniers soldats de Gallipoli. Des troupes motivées, mais sans aucun équipement. De lourdes portes blindées recouvertes de terre bloquaient encore l’accès à la base. Le Techmarine assurait qu’elles pourraient bientôt s’ouvrir. Riessman espérait seulement que ce serait avant que les orks les repères. Une fois dans la base la centaine de soldats qui se regroupaient pourraient être rapidement rééquipés. Cela représentait un espoir fou pour Riessman. Un rien pouvait faire capoter ce plan hasardeux. Mais cela restait actuellement la meilleure option possible. La seule acceptable en fait.
Après avoir observé de nombreux mouvements aériens, Riesman fronça les sourcils. Les orks semblaient concentrer leurs véhicules et leurs troupes au sol. Des renforts, escortés par de nombreux kopters, se regroupaient. Riessman commença à craindre le pire : les orks avaient-ils repéré la base ? Il prit la radio et il commença à émettre.
Alors qu’il travaille sur un bomba, Grumpfff entend le fouettard hurler pour rassembler les gretchins. Comme le voulait la tradition, cela provoqua une fuite massive de ces derniers. Grumpfff sait que cela était vain, d’autres fouettards et des squigs bergers attendent déjà les gretchins aux différents endroits où ses congénères peuvent fuir. Grumpfff, au contraire, choisit d’aller vers le fouettard. Il n’est pas plus courageux qu’un autre grot, mais cela lui laissera du temps pour réfléchir. Les fouettards ne cherchaient à rassembler les gretchins qu’en prévision de batailles à venir. Au mieux, c’était pour mettre en œuvre des gros kalibr’. Grumpfff n’en avaient pas vu. Au pire, c’était servir d’écran ou de système de déminage devant un groupe d’ork. Un acte glorieux et héroïque d’après les orks, mais que Grumpfff tenait à éviter autant que possible... Avisant le chassa bomba devant lequel il passe, Grumpfff observe machinalement l’engin. Un bel engin se dit il. Avec deux gros moteurs et beaucoup de gros fling’... dont un en tourelle. Machinalement, Grumpfff rentre et s’y installe. Il commence à peine à vérifier la mitrailleuse lorsqu’un énorme squig saute sur la tourelle. Protégé par la verrière, il recule, effrayé. Un fouettard attrape le squig berger tout en essayant de le calmer.
« Bon Nono, ça !!! » Grumpfff trouve que le nom est particulièrement inadapté pour un monstre aussi imposant et surtout doté d’une mâchoire aussi terrifiante. Pendant ce temps, le fouettard continu de parler à son animal.
« Petit grot trouvé ! Bravo Nono ! Mais, Petit grot déjà au boulôt !!! Nono Chercher autre grot !!!, Bon nono !!! » Le fouettard s’éloigne enfin avec son animal familier bondissant à ses côtés. Il croise un fondu d’la vitesse qu’il salue. Ce dernier monte à bord. Le fondu est d’humeur particulièrement joyeuse puisqu’il salue amicalement le grot.
« P’tit grot, akkroche toi, Foncez vers espace dans gros vaisseau ... » Grumpfff couine une vague approbation. Puis l’appareil se mit en route. Après un certain nombre de rebond (et de bosses), l’engin décolle au grand soulagement du grot. Grumpfff peut alors observer les orks se rassembler. Les grots sont regroupés à côté. Cela ne signifie qu’une seule chose. Une méga baston en perspective. Grumpfff se détend : il n’y va pas.
Le Techmarine, tout en assurant la mise en service des robots de combat, réfléchissait. Les orks se regroupent. Ils ont du repérer le tunnel. Caylus va devoir retarder pendant plusieurs heures les orks avant qu’ils puissent contre attaquer. S’il réussit, les orks auront à faire face aux robots sur lequel il travaillait. Le seul point positif de cette situation était que pendant que les orks se concentrait sur ce tunnel, ils pourraient sans doute en profiter pour dégager une autre issue. Cela permettrait de rapidement faire rentrer les soldats de Riessman dans la base. L’immense porte principale était exclue. Elle était trop visible et surtout ils n’avaient pas les effectifs pour en défendre l’accès. Lorsqu’elle serait ouverte, les orks s’y engouffrerait. Machinalement, Bertin demanda au « grot » de lui transmettre les plans de la base. Le « grot » commence la transmission de ces données. Dans le même temps, ce dernier lui parle de ses idées. Une est brillante. Bertin donne son aval pour la réaliser. Décidément ce gamin ne manque pas de ressource. Le Techmarine à aussi une idée. En examinant les plans des conduits d’aération, il a trouvé une voie d’accès possible. Une voie d’accès discrète. Pas simple à utiliser ; encore bloquée, mais en utilisant les robots de maintenance pour la dégager...