Une nouvelle dans l’univers de W40K : Le grot Chap 12bis - Le Tunnel
Une nouvelle dans l’univers de W40K : Le grot
Chap 12bis - Le Tunnel
Gurtzzz s’avance vers la porte blindée trouvée par ses boyz. Les zoms avaient dégagé une porte menant vers... vers... Tout ce qu’il sait ; c’est que les marines boyz sont derrière ! Ce qui lui suffit. Gurtzzz était inspiré par Mork, le dieu de la ruse. Il savait que dès que la porte serait ouverte, les zoms tireraient sur eux. C’est pour remédier à ce petit souci qu’il donne l’ordre de faire venir le boss des fouettards. En quelques mots, il lui explique le problème. Le fouettard acquiesce et se dirige ensuite vers ses boyz fouettards. Après quelques minutes, une horde de gretchins se dirige en glapissant vers la porte. Ils sont tellement nombreux qu’ils gène les orks chargés d’ouvrir la massive porte. A peine est elle ouverte que les gretchins se précipitent dans le tunnel. Certains écrasent leurs congénères pour y entrer. Soudain, des tirs d’armes automatiques retentissent. Ce qui ne surprend pas Gurtzzz. Pourtant, malgré les tirs, les grots ne cessent de s’y précipiter. Et ça ! C’est pas normal pour des mauviettes comme les gretchins. Sa curiosité aiguisée, Gurtzzz fait venir son boss fouettard pour lui demander ce qui motive ainsi les minuscules gretchins.
« Moi dire à grots : Bière au champignon dedans... » Gurtzzz regarde fixement son nob fouettard. Soudain, il le saisit au col et hurle
« Toi pas dire ça à Gurtzzz ??? Gurtzzz aime bière au champignon !!! » Gurtzzz jette un fouettard stupéfait et il se précipite en hurlant à l’intérieur du tunnel. Excités par les cris de leur chef, les orks foncent à sa suite dans le tunnel. Plus loin, les Dread et Boit’ ki tu arrivent, constatant le mouvement des boyz, les médikos les guident vers l’entrée du tunnel. L’attaque principale est lancée.
Boumboumek vient rendre compte à Fork de l’état d’avancement des travaux. Le vaisseau Baron noir sera bientôt transformé en un vrai kroiseur et celui en construction sera opérationnel dans quelques heures. Boumboumek a même recensé suffisamment de débris pour fabriquer un eskadron d’escorteur après ces chantiers. Fork est satisfait. Soudain, l’ork responsable des radars tape sur le pied d’un grot attaché à un poteau. Ce dernier crie de douleur.
« Pourquoi Alarm’ ? » Demande Fork.
« Brouillage repéré, big boss. Surement kroiseurs des zoms. P’tet beaucoup !!! » Fork fait la grimace. Il aurait aimé disposer de plus de temps. Il aurait voulu envoyer des chassa-bomba pour faire les reconnaissances, mais les pertes successives ont été trop lourdes. Il est obligé d’envoyer les vaisseaux de combat capturés en première ligne. Enfin ceux des autres bandes...
« Garde vaisseau bande Fork pour terminer boulot dessus, les zotres attak et kassent les zoms !!! kombien brouilleurs repérés?»
« Un Big boss !» Un seul brouilleur, cela signifiait un seul navire de ligne. Les vaisseaux des autres bandes suffiraient amplement.
Quelques minutes après, la majorité des vaisseaux orks quittent l’orbite de Gallipoli en projetant de spectaculaires jets de flamme.
Le Janus accompagne l’escadre de trois croiseurs de classe Dictator. Ils sont escortés de frégates et de torpilleurs de conception arcadienne. Ces derniers ont pour mission principale de protéger le Janus et les trois vaisseaux des flottes spéciales, lors de l’insertion de la flotte dans le système planétaire de Gallipoli. Le Janus met en œuvre ses puissants systèmes de brouillage. Les même que ceux des croiseurs qui eux gardent leurs systèmes muets. Profitant de leur discrétion relative, ils en profitent pour mettre en œuvre leurs escadrilles de chasseurs-bombardier.
« Transmission, activez les sondes pour prendre contact avec nos hommes sur Gallipoli ! » Demande Lagardère sur le Bossu.
« Transmission impossible actuellement, Pacha. Le brouillage est trop fort !!! »
« Zut !!! Navigation, Prenez le cap choisit. Transmission, dès que l’on sera suffisamment éloigné, mettez-moi en communication avec cette satanée base ! »
Les trois vaisseaux plongent en dessous du plan de l’écliptique. Ils choisissent une trajectoire plus longue à effectuer pour rallier Gallipoli. Mais il sera plus difficile pour les orks de les intercepter alors qu’ils foncent vers le groupe de croiseurs. Pendant ce temps, l’escadre humaine se prépare à ce qu’elle ne croyait être qu’une escarmouche.
Riessman sursaute, surpris. Un des robots vient d’émerger du sol juste devant lui ! Tout en râlant, il se précipite vers le tunnel qui vient de se dégager. Il n’aime pas les tunnels. Et celui ci est encore plus rebutant que les autres. Malgré ses réticences, Riesman admire l’astuce du Techmarine. Les tunnels d’aérations sont discrets. Même ouverts et dégagés ; ils ne permettraient pas à des hommes équipés de s’infiltrer dans la base. Mais ses hommes vont s’équiper à l’intérieur de la base...
« Tout le monde à ses consignes ? »
« Oui commandant ! » Répondit un sergent chef.
« Bien suivez-moi dans cette s..... » Tout en continuant de jurer, Riessman s’enfonce dans le sol. Un des soldats demande au sergent chef qui seconde le commandant.
« Pourquoi râle t’il comme cela ? »
« Depuis que les orks l’on mis au trou pendant des mois, il ne supporte plus d’être enfermé »
« Pourquoi y va t’il alors ? » Demande le soldat. Le sous officier le considère avec mépris.
« Il fait son job ! Maintenant ferme ton clapet à fromage et met toi dans la boue !!! » Le soldat saute à la suite de son officier, terrorisé par le regard du sergent chef. Les autres suivent en rigolant.
Gurtzzz traverse le couloir aussi rapidement que le permet sa méga armure. Il pousse les cadavres de gretchins sur les côtés, tout en tirant vaguement en direction des marines boyz. Une partie du tunnel est fortifiée et tenue par des zoms. Ils ont beau tirer sans arrêt. Les gretchins sont trop nombreux et vont finir par les submerger. Gurtzzz accélère en hurlant plus fort. Il voulait sa bière !!! Les gretchins ont presque traversé le tunnel et vont sauter sur les zoms qu’une nouvelle porte blindée se referme soudainement sur eux. Gurtzzz et ses autres boyz stoppent devant. Ils hurlent encore plus de frustration et tire de rage sur la porte blindée. La porte est trop épaisse, les tirs rebondissent dessus. Les gretchins vont lui siffler toute la bière. Le big boss se promet alors de s’expliquer avec son boss fouettard. Gâcher de la bonne bière au champignon comme cela !!! Gurtzzz entend le bruit des Dread et des boit’ki tu qui entrent dans le tunnel. Avec leurs méga pinces, ils vont lui ouvrir cette porte et Gurtzzz savoure d’avance sa bière.
Caylus tire presque machinalement le gretchin qui a réussi à courir jusqu’à la fortification. Le moment allait venir pour eux de jouer leur meilleur atout. Caylus ne peut pas connaître celui qui avait conçu le tunnel. Mais, il remercie cet homme pour son travail. Défendre cette position était particulièrement aisée. Protégé par la seconde porte du sas, il fait reculer ses hommes jusqu’à la position montée après la troisième porte blindée. Celle si est laissée ouverte. Là, les marins du « Chevalier Paul » attendent derrière les fortifications qu’ils ont installées, missiles à la main. Les space marines prennent place à leur côté et font le plein de munitions. Ils n’ont qu’à attendre.
L’amiral sur le pont du Janus attend le résultat des senseurs de veille. Si le brouillage du Janus garantit que les orks ne peuvent pas connaitre la composition de l’escadre, cela gène aussi considérablement les senseurs de la flotte. L’amiral n’est pas inquiet. Lors de la première escarmouche, les orks ne feront que mettre en œuvre quelques chassa bomba et même avec un peu de chance un ou deux escorteurs qu’ils pourront facilement détruire, mais pas plus. Rien que ne puisse gérer les chasseurs des croiseurs. Cette opération de diversion sera facile se promet il. Soudain, le centre d’opération semble s’alarmer
« Amiral !!! Ce n’est pas des chassa bomba que nous repérons. Les orks envoient c’est leur flotte !!! »
« Vous êtes sur ? » L’amiral est soufflé. Ce n’est pas ce qu’il a prévu.
« Affirmatif amiral. Je compte 5 à 8 vaisseaux de première ligne et d’une douzaine à une quinzaine d’escorteurs. Nous aurons plus de détail lorsqu’ils vont s’approcher. »
« Vérifiez et confirmez l’absence de chassa bomba. Prévenez le reste de la flotte. Nous gardons deux escadrilles de chasseur pour notre protection. Les torpilleurs doivent se positionner pour protéger les croiseurs. Nous restons en retrait. La mission est maintenue. Nous devons absolument couvrir l’attaque sur Gallipoli !!! Ceci passe avant notre propre protection. » L’amiral observe le schéma tactique qui s’affiche devant lui. Les croiseurs de la classe Dictator étaient des engins redoutables. Mais l’armement principal de vaisseaux de cette classe restait leurs escadrilles de chasseurs bombardier. Malheureusement pour l’escadre, ceux ci avaient été équipés en fonction d’un combat contre leurs homologues orks. Leurs capacités de combat contre les navires orks étaient des plus limités. Les Dictator devraient compter sur leurs propres batteries d’arme sans soutien de leurs chasseurs. En les mettant en arrière, il libérerait sa propre escorte pour soutenir les croiseurs. Les chasseurs constituaient l’escorte du Janus, mais aussi une réserve rapide et offensive pour protéger le principal point faible des croiseurs : les propulseurs. Mais cette réserve était dramatiquement faible pour faire face à des escorteurs orks. Malgré cette astuce tactique, le combat allait s’engager en infériorité numérique pour les Arcadiens. L’amiral considéra les icones symbolisant les trois navires de la flotte spéciale qui fonçaient vers Gallipoli. Couvrir cette attaque allait couter très cher !!!
Le « grot » s’était évanouit encore une fois. C’était la fin pour lui. Son organisme ne supportait pas l’implant du Magos. Reprenant ses esprits, il remarque que la connexion avec le réseau de sonde en orbite est activée. Les renforts arrivent ? Oubliant ses soucis, il prend contact.
Le Bossu est sorti depuis longtemps de la zone de brouillage du Janus. Ses senseurs ne sont plus masqués et il peut constater que la flotte va droit devant une bataille frontale. Les pertes vont être lourde dans les deux camps. Le piège de l’amiral Forbin s’est retourné contre lui.
« Pacha ! Transmission de Gallipoli par les sondes ! » Lagardère fait établir la liaison entre avec son propre communicateur.
« Ici Gallipoli, nous subissons une attaque des orks. Quand pourrez vous nous larguer des renforts ? » Zut ! Crotte de squiggoth !!! Lagardère ne peut s’empêcher de crier.
« Si vous pouviez détruire les anciens vaisseaux de la colonie, nous pourrions envoyer des renforts !!! Actuellement la flotte va se faire massacrer ! » Un silence lui répond. Lagardère a alors honte de sa sortie. Mais la fatigue s’accumule. Ce qui n’était pas une excuse. Dans un bruit de parasite, Gallipoli, reprend
« Je vous transmets les données de télémétrie pour la commande de nos chasseurs orbitaux. Si dans une heure, je vous envoie nos chasseurs, pourriez vous les guider jusqu’aux vaisseaux à détruire»
« Vous avez des chasseurs orbitaux ? » Demande Lagardère.
« Affirmatif »
« Pourquoi ne les avez vous pas envoyé avant ? »
« Nous n’avons pas de pilote !!! » Un silence étonné se fait dans le CO du Bossu.
Gurtzzz ne cesse d’hurler des conseils et des ordres. Certains finissent par être utiles car la porte commence à s’ouvrir. A peine entre ouverte, les premiers tirs humains fusent. Gurtzzz est satisfait, les zoms sont juste coriace à souhait. Une des boit’ ki tue explose sur un impact direct de roquette. Gurtzzz se demande si ce n’était d’ailleurs pas ces fameux marines boyz. Lorsque la porte blindée est ouverte, l’espace libéré est saturé par les tirs humains. Roquette après roquette, ils endommagent les marcheurs de combat orks, les boyz et les gretchins sont fauchés par les tirs de mitrailleuses. Mais, malgré les pertes, La marée ork continue d’avancer.
Caylus lance le signal. Les mines placées autour de la porte que vient d’ouvrir les orks explosent. Des tonnes de débris sont charriés. Coincé derrière ceux ci, les orks vont devoir dégager. Caylus récapitule son plan. Lorsque les orks arriveront à sortir, ce sera sous les tirs de ses marines. Puis, lorsqu’ils auront payé le prix pour dégager ces gravats. Ils devront faire face à la troisième porte. Cela lui laissera le temps d’évacuer ses hommes vers le « pont » au milieu du tunnel. Satisfait Caylus donne l’ordre aux marins de partir pour cette dernière position. Il n’a plus besoin de soutien ou de tir de saturation. Une rafale tirée par un de ses hommes tue un ork qui émergeait des débris.
Fork observe la valse des vaisseaux sur la carte stellaire que ses boyz marins tiennent à jour. Ses vaisseaux sont plus nombreux de un, deux ... beaucoup plus nombreux que ceux des zoms ! Mais les zoms se battent bien dans l’espace se rappelle le Big boss. Il appelle Gurtzzz par radio, sans succès. Un des boyz de Gurtzzz lui décrit la situation dans le tunnel. Fork s’amuse beaucoup à la description. Gurtzzz se battant comme un lapin dans un tunnel. Il éclate de rire. Puis, il appelle Boumboumek pour demander où en est la konstruction de ses deux nouveaux kroiseurs. Boumboumek lui apprend qu’ils seront peut être prêt à temps pour la bataille spatiale. Néanmoins, Fork est satisfait. Il donne l’ordre d’accélérer l’embarquement à bord de ces engins de sa bande de boyz et de tous les chassa-bomba disponibles au sol. Après tout, Gurtzzz n’en n’a pas besoin dans son tunnel à lapin.
Lagardère donne rapidement des ordres à l’Indomptable et au Redoutable. Officiellement, il n’est pas leur supérieur. Mais, les deux commandants connaissent l’astuce de cet homme et admettent implicitement son autorité. Ils vont continuer la mission originelle. Le Bossu, lui, va donner un coup de main à la flotte. Lagardère n’a pas le temps d’expliquer son plan, c’est pourquoi les deux autres pachas ne donnent leur assentiment qu’à regret. Se demandant vaguement ce qu’il allait encore inventer. Le temps manque pour qu’il puisse s’expliquer. Et surtout, les liaisons radio pourraient être interceptées par les orks. Le Bossu va au devant des ennuis. Ce qui n’est d’ailleurs pas la première fois.
Le « grot » termine enfin de programmer les chasseurs. Il est épuisé. Leur lancement va impliquer d’ouvrir les gigantesques portes protégeant l’entrée principale de la base. Heureusement, les hommes de Riessman arrivent enfin. Ils pourront protéger l’accès à base avec les armes et le matériel disponible. Son idée était astucieuse et lui avait valu des félicitations du Techmarine. Ce qui l’avait flatté. L’avis du space marine enfermé dans le dreadnought comptait énormément pour lui. Ce dernier, informé par les hommes du centre opérationnel de ses évanouissements, lui a donné l’ordre de se reposer. Le « grot » savait que ses évanouissements n’étaient que le prélude à sa prochaine agonie. Mais tant qu’à partir, il ne voulait pas partir seul. De sa console, il commença à programmer de nouveaux processus.
Après avoir émergé du tunnel d’aération, Riessman débouche enfin sur le hangar principal. Faisant le point avec les marins sur la salle, il considère l’équipement disponible. Il y avait de quoi équiper toute une armée. Malheureusement, il avait à peine pu rassembler une centaine d’hommes. Riessman se demande alors si cela sera suffisant pour repousser l’immense armée ork. Averti des dernières évolutions de la situation, il commence à donner des ordres. Ses hommes n’ont pas le niveau technique des marins. Il leur laisse les robots de combat que va commander le Techmarine. Riessman s’approche des transports de troupe. Visiblement des engins solides et bien armés. Les orks sont trop fort au corps à corps. Mais si ils utilisent ses hommes comme une unité d’infanterie mécanisée. Ils peuvent prendre l’avantage en utilisant la puissance de feu de ces véhicules. Après cette réflexion, Riessman fait l’inventaire de l’équipement d’un véhicule et commence à manipuler les armes disponibles. Ils ont trois quarts d’heures pour apprendre les manier correctement. A ce moment, la porte s’ouvrira.
Gurtzzz était recouvert de poussière. Sa méga armure l’avait protégé encore une fois. Le blindage avait empêcher que le poids des gravats ne l’écrase. Sa force, décuplé par les vérins de la méga armure lui avait permit de s’extraire des roches éboulées. Devant les débris qui le retarde, Gurtzzz donne l’ordre de faire venir des véhicules volés. Il veut des véhicules volés dotés d’obusiers. Il a des chariots de guerre qui sont aussi équipés de ces lourds canons. Mais les chariots orks sont trop imposants pour pénétrer dans ce tunnel, pas les véhicules volés aux armées de Gallipoli. Après un long moment d’attente, un des engins demandé pénètre dans le tunnel, Gurtzzz donne alors l’ordre de tirer jusqu’à ce qu’il puisse passer. Le boyz est surpris, mais on ne discute pas avec un Big boss. Surtout si le Big boss en question est très en colère et sur-armé.
Caylus sursaute. Une explosion a secoué le tunnel. Une seconde explosion retentie. Les orks font sauter le bouchon de gravats à l’entrée à l’explosif. Ce n’était pas prévu. Les orks sacrifient ceux qui sont encore coincés sous les débris pour gagner du temps. L’avantage de cette situation était qu’il n’aurait plus à s’en faire pour les marcheurs blindés orks. Ils étaient obligés d’évacuer le tunnel si ils ne voulaient pas être coincés par les éboulements provoqués par l’utilisation d’explosifs. L’inconvénient Pour Caylus était qu’il ne pourrait pas garder la position aussi longtemps qu’il l’avait espéré. Caylus donne l’ordre de préparer le transport de troupe pour une retraite rapide et prend contact avec le Techmarine pour lui rendre compte de l’évolution de la situation. Puis, il réfléchit à ses options tactiques et décida d’un nouveau déploiement.
Une nouvelle détonation retentie. Gurtzzz est sorti du tunnel. Il observe ses bandes de boyz qui se regroupent près de l’entrée. Le véhicule volé allait exploser les gravats qui le bloquent. Puis, il allait kasser tout les marines boyz devant toute sa bande. Une bonne et grosse baston qui allait assoir son autorité. Gurtzzz allait montrer qui était le Boss le plus puissant sur cette planète ! Pour la première fois, Gurtzzz comprend qu’il était aussi puissant que Fork, peut être même plus puissant…