Conversion d’une maquette de cuirassé Zentradi en cuirassé de type Obéron pour Batlle fleet gothic (BFG) - 2e partie

La différence de taille (montrées sur les photos à la fin du post) avec les vaisseaux officiels est importante. Mais cela n’a pas d’importance lors d’une partie. Car toutes les mesures se font à partir de la tige supportant la figurine sur le socle. La sous-couche noire permet de masquer les différents plastiques collés entre eux et d’avoir des peintures uniformément réparties sur toute la coque. Par choix, la partie inférieure est laissée en noir, alors que la partie supérieure est sous-couchée à nouveau en vert. Il n’y a aucune raison objective. Cela fait ressortir les parties les plus visibles de la figurine. Cela fait aussi référence aux camouflages des avions de combats… Mais en fait cette décision a été une décision prise sur l’instant. Le principal est que cela plaise au propriétaire actuel du vaisseau.

Rapport du la patrouille M201 du secteur Arcadien. (Ref temporelle locale : Année 019 – J 138)

« Le vaisseau inconnu est un vaisseau de colonisation humain pré-impérium. Chargé de coloniser le monde M221 (référence inconnue), il a été abandonné en orbite après arrivée à destination d’après le journal de bord. Après un abandon presque total de deux siècles, il a été réactivé et modifié permettre la colonisation du système voisin. Ce système, déjà occuper par une autre race intelligente belliqueuse (Ork, probabilité 59,1%) s’est opposé violemment au débarquement scientifique. Les survivants ont pu embarquer et déclencher un départ en urgence pour tenter d’échapper aux engins légers orks. Un abordage n’a pas pu être évité. Les assauts orks ont pu être repoussés qu’en décompressant la majorité des compartiments. Les survivants ont débarqué lors d’une transition dans un système stellaire différent. Depuis, une période d’environ 12 millénaires. Le vaisseau dérive de système en système. Il n’a pas été repéré depuis car sa trajectoire est subluminique et ne passe pas dans des systèmes stellaires.

Le vaisseau est un vaisseau de transport d’un tonnage double par rapport aux cuirassés impériaux. Il ne possède ni système de champs propulseur, ni système de saut Warp. Sa propulsion supra luminique est d’un type inconnu. En l’absence de champs de protection, le vaisseau dispose d’un cloisonnement et d’un blindage équivalent à celui d’un vaisseau combat de première ligne. Le système de maintien de vie n’est plus fonctionnel est ancien, mais son remplacement sera aisé car il est basé sur des normes existants toujours. Les systèmes de combats, l’armement et les senseurs sont obsolètes et hors d’utilisation. Ils doivent être remplacée. Par contre les systèmes de commandement, de gestion et de contrôle de vols sont basé sur une technologie ancienne et mal connue qui est encore partiellement fonctionnelle. .

Sa trajectoire va passer à moins de jours-lumière d’une base spatiale dotée doté de moyen de réparation. Pour permettre la capture du vaisseau, un équipage de prise à été laissé sous le commandement de l’ingénieur spatial de 2^e classe Rémy.

Rapport Initial Station spatiale MersKebir( Ref temporelle locale: Année 019 – J 313)

Le vaisseau a été identifié comme le « Paris » (Référence : Ville, capitale Europe fondée par le prince de Troyes du même nom, période pré-Impérium). Magré son âge, la structure intacte. Le blindage doit subir un remplacement à 11 % (impacts divers). Par contre la totalité de la surface doit être refondu et remplacé.

La propulsion hyperspatiale et les systèmes de commandement, de communication et de gestion des informations a été mis de côté pour examen par l’Adeptus Méchanicus. En échange, l’Adeptus s’engage à fournir des systèmes standards équivalents et de prendre à sa charge la moitié du coût des réparations si elle peut travailler à la remise en état du vaisseau.

Le vaisseau peut être remis en état de fonctionnement. Il possède de nombreuses soutes, mais de tailles limitées. Certaines devront être condamnées pour renforcer la structure et supporter un armement plus conséquent. L’Installation de trois unités de production énergétiques super-lourdes standardisées. Permet d’utiliser un armement comparable à celui d’un cuirassé Obéron.

Les installations militaires existantes peuvent servir pour installer un système de défense rapprochée comparable à celui d’un cuirassé standard.

La remise en état du « Paris » ne peut que se faire dans un dock spatial de classe « Impérial ». Le seul disponible actuellement est celui de NéoBrest. Ce qui obligerait à reporter la construction du croiseur de bataille« Terrible ». Le temps de remise en fonctionnement est estimé à 7 ans terrestre. Le coût grâce à la mise à disposition par l’Adeptus Méchanicus de nombreux sous-système est estimé à 3 milliards d’Ecus, soit le prix d’un escadron de frégates ou d’un croiseur de bataille. Mais il implique le renforcement des équipages et des officiers de la flotte.

Au vu du manque de vaisseaux super-lourds dans la flotte Arcadienne, le commandement local a déjà pris les dispositions pour que le transfert du « Paris » soit préparé. L’Ingénieur spatial Rémy est chargé de la manœuvre et de la préparation des travaux. Il a été promu pour la réussite des travaux préliminaires.

Rapport des essais en vols avant mise à disposition de la flotte ((Ref temporelle local : Année 025 – J 121)

La conversion du « Paris » a pris un an standard de moins que prévu grâce à l’utilisation de nombreux sous-systèmes standard. Par rapport au potentiel de la coque, l’armement est limité. Il correspond à celui d’un cuirassé de classe Obéron impérial. L’endurance du Paris est divisée par deux par rapport aux cuirassés impériaux. Mais la taille du secteur Arcadien et surtout son isolement par rapport à l’espace Impérial transforme ce handicap en simple limite logistique.

L’état général de sa structure devrait permettre une exploitation en première ligne d’environ 4 siècles avant une révision complète.

Rapport de Contact – Vaisseau « Paris » Patrouille (A 025 J 320)

La flottille d’exploration Beta a procédé à une reconnaissance armée dans le système extérieur 7. Jouant sur la configuration inconnue du vaisseau, une approche furtive sans propulsion a été tentée. Cette approche a permis de confirmer la présence de nombreux groupes d’orks dans la ceinture d’astéroïde, confirmant les rapports des navires civils transitant par ce secteur.

Trompé par l’approche non conventionnelle, les orks ont tenté d’aborder le vaisseau pour le capturer. Leur approche laisse à penser qu’ils pensaient le vaisseau abandonné. Profitant d’une situation aussi favorable, le vaisseau à retenu ses tirs et caché ses escorteurs derrière sa masse. La première salve a détruit la flottille d’abordage. Puis les vaisseaux torpilleurs ont été largués pendant que les escorteurs prenaient position pour protéger les arrières du cuirassé.

La surprise a joué à fond et a permis de mettre en déroute une flotte plus nombreuse et plus manoeuvrante.

L’exploration de la ceinture d’astéroïde a permis la découverte d’un chantier ork permettant la transformation d’astéroïdes en vaisseaux de type « Rok ». Ces derniers ont été détruits.

Une exploitation rapide des astéroïdes métallique de cette ceinture doit être lancée. Ceci afin de récupérer le maximum de métaux pour notre industrie et aussi d’en limiter l’accès aux orks. Une couverture militaire de l’opération est indispensable. Le temps estimé avant un retour probable des orks est de 8 mois standards, soit 3 mois d’exploitation avant le démantèlement et le rapatriement des installations.

Le « Paris » s’est révélé peu manœuvrant du fait de sa masse. Une escorte pour protéger ses arrières est indispensable. Mais, c’est un engin solide qui peut encaisser de très nombreux dégâts. Sa puissance de feu et la polyvalence de son armement lui permettent d’être redoutable quel que soit le type de combat.

Rapport avant indisponibilité pour remise en état du « Paris », Chantier NéoBrest (Ref temporelle locale : Année 192 – J 285)

Le « Paris » a été admis pour remise en état moins d’un siècle après son admission en service actif. De nombreuses installations doivent être remplacées suite aux nombreux combats essuyés. La propulsion et les systèmes énergétiques doivent être remplacés. Ils sont prématurément usés. La masse du vaisseau implique une usure accrue de ces systèmes afin de garder une manœuvrabilité et une vitesse suffisante. Ses différents équipages ne demandent pas un accroissement de la puissance de feu, mais une augmentation de la défense rapprochée et de la capacité d’emport en vaisseaux léger de ce vaisseau.

Le coût d’exploitation du « Paris » est supérieur de 07, 3 % par rapports aux estimations initiales, l’équipage a du être augmenté de 250 matelots et officiers spatiaux. Mais les services rendus rendent cet investissement particulièrement rentable

(Tableaux de chasse du « Paris » : 3 kroiseurs, 7 Roks et 11 escorteurs orks. 2 escorteurs inconnus et 1 escorteur Eldar Noir. Tableau de chasse des escadrilles embarquées : 5 Kroiseurs désemparés, 7 escorteurs désemparés, 2 escorteurs détruits, 241 appareils détruits pour 188 appareils abattus et 165 pilotes et mécaniciens de vol tués).