scratch d’un ravageur pour une armée de Gobelin pour Kings of War (fin)

Autre oubli (c’est moche de prendre de l’âge… ). Donc, ceci est autre article de rattrapage dans l’urgence. Les Ravageurs sont de grosses bestioles, si possible méchantes et hargneuses, utilisées par les Gobelins comme tank. Il est surprenant de constater que les Gobelins, qui sont frêles, chétifs voire malingres (et très bêtes) arrivent à se faire obéir par des bestioles qui sont toujours considérablement plus fortes, puissantes et souvent plus intelligentes qu’eux. Mais les règles sont les règles.

La figurine de base est un petit jouet en plastique que l’on peut trouver dans toutes les solderies ou magasin de jeux. Le dos est limé pour pouvoir y coller une structure en carton. Une figurine de Gobelin est collée dessus, c’est lui qui dirige le ravageur.

Une arbalète est improvisée à partir de matériau de récupération. C’est un bout de fil de fer collé sur une base en plastique. Le carreau est une simple lance collé dessus. Le fil… est un trombone. Je ne reviens pas dessus. J’ai déjà posté un article dessus.

L’arbalète est aimantée, comme la structure. Ce qui me permet de l’utiliser comme baliste indépendante ou comme armement (optionnel) du ravageur.

Il faut remarquer que depuis quelques temps, Kings of War a changé de version. Mais depuis, je joue rarement pour cause de confinement. Ce qui explique que je suis passé à côté d’un simple fait : cette figurine est un Titan. Son socle n’est plus un carré de 5cm de côté, mais un carré de 7,5cm de côté… Du coup je dois refaire mes trois socles… ce fait bien rire mon aîné qui a soulevé ce point de règle ... Mais cela ne m’enchante absolument pas : Je n’aime pas faire des socles.

Maintenant, je n’ai pas pu tester la figurine lors d’une partie. J’ignore ce qu’elle vaut. Bien que puissante, elle doit être soutenue par des figurines aussi mobiles qu’elles. Pour moi, ce type de figurine s’utilise avec des chars ou de la cavalerie. En soutien de ces derniers, pour protéger leur flanc et/ou leur arrière. Mais il va falloir confronter idées tactiques et réalité sur la table de jeu.