Conversion Cybork(III)

L’un des cybork à roue à utilise le buste d’une figurine. Il reste donc à utiliser les pattes. Là l’idée est d’obtenir un cybork qui puisse faire office de nobz pour une escouade classique. La figurine doit donc être imposante et surtout dotée d’une pince énergétique.

La pince énergétique est un symbole de pouvoir chez les orks. Tout nob, digne de ce nom, doit en posséder une. En terme de jeu, il s’agit d’une arme de close combat redoutable. Elle a toutefois deux défauts. Elle oblige de frapper en dernier, et rend vulnérable durant ce temps son propriétaire. Toutefois, les orks sont de redoutables combattants et il existe peu de guerriers capables de les tuer dans ces situations en un tour. Toutefois, pour ne pas prendre de risque, il vaut mieux faire accompagner votre Nobz de quelques amis... qui pourront prendre les coups pour lui en utilisant la fameuse règle « attention chef !!! ».

Le second défaut de la pince énergétique est son coût en terme de point. Une pince coûte 25 points, soit quatre boyz. Un coût dissuasif pour une escouade de Cybork. Pour obtenir une escouade entièrement équipée de pinces énergétiques, il vaut mieux prendre des méga nobz qui se révèlent beaucoup moins cher.

Les pattes sont complétées avec des morceaux de plastiques. Un tronc qui est prolongé en « T ». Par contre pour refléter la puissance de ce Cybork, il est doté de deux bionik à la place des bras. L’un est prolongé avec un automatik, l’autre avec une pince.

La tête a été plus dure. Je souhaitais montrer un ork vétéran de nombreux combats avec de nombreux bionik. Ma première idée était de prendre une tête d'ork et de la relier avec de nombreux câbles au tronc. Une technique difficile : la tête est petite et l’installation de la tête avec la forme du tronc ne convenait pas dans ce cas. C’est un ami qui a trouvé la solution pour moi : mettre une tête d’ork dans un casque. Une tête d’ork noir de Warhammer Battle m’a été donnée. Une solution simple, mais efficace...

Il ne restait plus qu’à faire le reste de l’escouade. Trois fois rien en sorte !