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Système Arcadie, Secteur spatial de l'Impérium

Impression 3D, scratch et conversion

12 Janvier 2019 , Rédigé par Droopy Publié dans #3D

 

L’impression 3D semble être le « nec plus ultra » du jeu avec figurine. Elle a de grands avantages, mais aussi des contraintes plus ou moins lourdes. Toutefois, lorsque l’on fait la balance des avantages et des inconvénients, cette technologie est pleine de promesse.

Il existe d’autres façons de faire des figurines ou des véhicules. Elles sont bien connues des lecteurs de ce blog. La conversion, le scratch et le Papercraft sont des outils anciens mais qui restent d’actualité.

Le principal inconvénient de ces méthodes, c’est qu’elles prennent du temps. Surtout pour des taches aussi répétitives que des pneu, des roues, des armes ou tout autre accessoires. Ces composants «  de base », que l’on retrouve partout, prennent énormément de temps à faire de manière satisfaisante. Mais leur volume est faible, voire ridicule. Ainsi, de simples roues en papercraft ou en scratch peuvent prendre des heures pour être correctes, leur impression ne prend qu’un quart d’heure. 

Par exemple: les jambes de ces boit ki Tu ork en photo sont des morceaux de mécanismes d'engin de chantier. Leur impression est libre de droit. Et le montage est ainsi beaucoup plus rapide.

Des chenilles pour Tank, des paquetages, des bidons d’essences et encore d’autres accessoires présentent les mêmes caractéristiques, pour un constat équivalent.

De la même façon un aéronef, un Tank, ou certaines parties d’un robot sont plates et grandes, leur impression peut prendre plusieurs heures pour un résultat médiocre. Alors que le même produit fait en scratch peut prendre moitié moins de temps pour un résultat … plat et solide.

Pour les formes de grande taille c’est encore plus vrai. Un tank super lourd, ou un bombardier en 28mm doit être imprimé partie par partie avec une imprimante 3D. Ce qui prend énormément de temps, et impose une attention particulière à l’assemblage, alors qu’une maquette en papier fort, sera assemblé en quelques heures…

Par contre une grande maquette en carton ou en Bristol (ou à partir d’un jouet) sera d’autant plus rapide que si vous avez imprimé les composants annexes avec l’impression 3D avant…

Au final, l’impression 3D est un formidable outil qui va en complément des méthodes de maquettes plus anciennes.

L’utilisation de logiciel de conception 3D (que je dois apprendre à gérer) et d’imprimantes à la fois plus précises et travaillant sur des volumes plus importants, permettra d’abandonner ces méthodes. Mais si l’apprentissage d’un tel logiciel ne nécessite qu’un peu d’investissement personnel, des imprimantes plus performantes sont actuellement hors de portée financièrement parlant.

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