Scratch : Dreadnought ork (II)

Le sous couchage est une phase plus importante qu’il n’y parait. Tout d’abord, elle permet de gagner un temps précieux. Ensuite, elle permet d’uniformiser les textures. Dans un scratch ont utilise des matériaux différents. D’où un rendu différent lorsque l’on peint sans sous couche. Sur ces photos on observe que j’utilise une sous couche noire d’abord. Puis, je masque les parties que je veux sous coucher dans une autre teinte. La peinture en est ensuite grandement facilitée.

Pour la première couche, j’utilise des « à plats ». Puis, selon les modèles ou l’effet recherché, j’utilise des encres pour faire assombrir les creux et le brossage à sec pour faire ressortir les saillants. Souvent, les peintures utilisent les deux méthodes l’une après l’autre. Quelques détails peints (score, insigne), parfois des décalcomanies et la dernière couche est souvent un brossage à sec pour faire « usé » sur les véhicules.

Maintenant, il faut bien comprendre que les Dreadnoughts sont beaucoup plus vulnérables que dans la précédente mouture du jeu. Leur blindage frontal de 12 est vulnérable non seulement aux armes anti-char, mais aussi aux armes à forte cadence de feu. Il peut facilement être submergé de tirs de force 6 (canon d’assaut...) et subir suffisamment de dégâts légers pour être détruit. De la même façon, un close combat contre des troupes ayant une force de 6 (par le biais de certains équipements) ou de grenades anti-char est à considérer avec attention.

Malgré cela, un dreadnought reste un formidable adversaire surtout dans des zones « cloisonnées ». Des zones de combat du genre « urbains » offrent suffisamment de couvert pour limiter le nombre tir adverse à longue portée et lui permettre d’arriver au corps à corps. Un Dread peut profiter des couverts pour sécuriser une zone, des armes de tir (Pillards, Zap...) et ensuite engager des troupes au corps à corps qui arriveraient en frappe en profondeur ou avec une attaque de flanc.

Une autre façon d’exploiter son potentiel, est de le mettre à couvert derrière des boit ‘ki tu. Il protège alors les boit ‘ en attirant les tirs adverses, il les soutient avec sa CC en cas de corps à corps tout en profitant de leur couvert. Un exemple d’arrangement de type « gagnant-gagnant » .

Une dernière façon d’exploiter le potentiel d’un dreadnought ork est de le mettre avec un gros mek. Le dread devient un choix de troupe (Ce qui n’est pas négligeable). Et si le gro’ Mek est équipé d’un champ de protection, il bénéficie en plus des capacités de réparation du mékano d’un couvert.

Malgré les changements et l’apparition de nouveaux types de combattant, le Dread reste un adversaire redoutable qu’il convient de mettre dans son armée.

Sous couche

Petit tour autour d'un petit Dread ork...