Scratch d’un Hellhound pour W40K (2)

Historiquement, les tank et les armes lance-flamme sont nombreuses dès la première guerre. Mis à part entre 1930 et 1940 où elle sont considéré comme des armes anti-tank (leurs flammes devant s’insérer dans les blindages et étouffer moteur et équipage voire faire détonner les munitions), ces armes sont des armes anti-personnel. Si elles sont simple à produire, leur utilisation reste problématique : la portée est très limitée. Le nombre de tir est encore plus limité, mais surtout son utilisation est particulièrement dangereuse. Un simple impact sur les réservoirs transformant tout utilisateur en torche humaine. Cela y compris dans les tank lance-flamme. L’impact militaire « pure » des lance-flamme est surtout psychologique. Tout combattant préfère reculer devant une telle menace. Mais son utlisation est surtout efficace contre des zones retranchés ou en assaut de milieux fermés comme des bunkers.

Le simple fait que ces armes soient très peu utilisées depuis la seconde guerre mondiale montre combien elles sont au final peu efficace.

Sur la table de jeu, le lance-flamme est une arme très utile contre l’infanterie. Elle touche automatiquement, ce qui la rend particulièrement efficace lors des phases d’assaut. Le Hellhound qui bénéficie d’une forte allonge doit foncer directement contre l’infanterie adverse dès le début de la partie. Il va ainsi attirer les tirs adverses pour le plus grand profit d’autres unités. Mais, si il survit, même très amoché, il peut se révéler très dangereux contrairement à beaucoup d’autres véhicules. De toute façon, même si il est détruit, il peut facilement exploser et endommager tout adversaire ayant commis l’erreur de le charger. C’est pourquoi sont placement est aussi important. Si le Hellhound est redoutable contre l’infanterie, son impact contre des véhicule est beaucoup plus limité, voire nul.

Toutes ces règles font du Hellhound un véhicule comparable à ceux utilisé lors de la seconde guerre mondiale.